* EDITO *
Gaillonnais,
vous aurez sans doute été surpris d’apprendre que votre si jolie bourgade, avec
ses 2000 ans d’histoire, prenait une part si importante dans une énigme aussi médiatisée
que celle de Rennes-le-Château (cf, Da Vinci Code). Surprise bien légitime
puisque rien n’a pu transpirer de nos publications malgré les annonces faites
aux médias locaux. C’est une manière de cadenasser l’information quand elle ne
passe pas au travers de canaux officiels.
Malgré
la masse des sources inattaquables publiées, il faut donc comprendre que les
facettes de l’histoire occulte mise au jour à Gaillon, et ailleurs, ne sont pas
du goût de tous. Cela n’a aucune importance car nous persisterons et en
rajouterons.
Allons
à Rochemaure, Stenay et Jarnac-Champagne poursuivre le marquis de Chérisey sur
la piste d’un farceur, certes, mais aussi d’un ésotériste adepte des carrés
magiques et de la mythologie d'outre-espace. Gaillon à l’aube de la Renaissance rappellera une autre vision de son château qui de nos jours n’est plus que l’ombre de lui-même. L’abbaye d’Orval, chargée de mystères, nous délivrera-t-elle tous ses secrets ?
Après
avoir mis à nu les parchemins codés de Béranger Saunière, issus d’un manuscrit
antique, le Codex Bezae, nous poursuivons avec une nouvelle découverte sidérante
mettant en avant l’œuvre musicale d’Odon
de Cluny, considéré premier abbé de cette abbaye cistercienne après
Bernon. Il s'agit de la seconde partie inédite de notre étude en ligne. Ici, le voile va vraiment se déchirer sur une Vérité que même Théodore de Bèze avait convenu de dissimuler.
Dans
chaque numéro, vous retrouverez quelques informations parues sur notre site
internet. Tout le monde n’étant pas forcément connecté, il serait dommage que
certains lecteurs soient délaissés.
David Teniers et Nicolas Poussin, maîtres des clefs, trouveront ainsi un
nouveau souffle et le lecteur assidu des additions pigmentant de nouvelles révélations.
L’ombre
des Templiers plane encore sur Gisors. Malgré un demi-siècle de dénégations
officielles, l’empreinte occulte de l’Ordre martyr reste gravée sur les
remparts de la forteresse médiévale. Nos nouvelles investigations sur place bousculent les idées reçues.
Les
rumeurs ont la vie dure a t’on l’habitude d’entendre. Le Mercure de Gaillon n’a
que faire de la rumeur et apporte des preuves concrètes et référencées.