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Numéro 5


Le Mercure de Gaillon
Les Archives du Serpent Rouge

Disponible dès le 15 janvier 2009 ici à la demande et dans tous les points de vente habituels
    Le Mercure de Gaillon  - BANDE ANNONCE - 12MO








Les Bandes Annonces
(Trailer) 1 et 2


Existe maintenant au format PDF

Mercure dee Gaillon N°5

* EDITO *


Sans conteste, l’année 2008 fut une année aussi riche en découvertes que le furent les années précédentes. Certes, nos trouvailles se limitent encore à quelques documents entre Normandie et Languedoc. Mais quels documents !

Depuis 2005, en poursuivant la piste du Codex Bezae, retrouvée par l’universitaire allemand W. Wilker, piste qu’il avait lui-même écartée, de l’affaire de Rennes-le-Château, une vague ininterrompue d’informations est venue grossir le flot d’un bouillon de culture au sens noble du terme.

Loin de nous l’idée saugrenue de dire : « Nous avons résolu les énigmes de Gisors et Rennes-le-Château ». Quel monstre de prétention et de vanité faudrait-il être pour affirmer une chose pareille ?

Nos recherches et découvertes n’ont rien de commun avec un pseudo rituel mortuaire pratiqué par B. Saunière, et encore moins avec un prétendu artefact antique caché dans Saint-Sulpice. Aucun de nos documents authentiques, récemment découverts, n’atteste de cela. Il n’y a même pas l’once d’un début de piste.

Nous ne sommes pas de ceux qui font feu de tout bois. Ainsi voit-on certaines de nos méprises relancées sur Internet, sans être corrigées, dans une histoire de baguette magique digne d’un Harry Potter. Nous n’y accordons absolument aucun crédit.

Toutefois, l’église Saint-Sulpice garde une partie du mystère puisqu’elle est associée sous bien des aspects à l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés, tombeau des premiers rois de France.

Les documents relatifs à notre étude sont là, bien palpables. A GISORS nous avons déniché :

- Un livre d’heures détenant l’épitaphe clef de la chapelle Saint-Clair de Saint-Gervais Saint-Protais. (Mercure de Gaillon n°1)

- L’extrait du testament d’un bienfaiteur de l’église, datant la fondation de la chapelle Sainte-Catherine et écartant la confusion faite avec la crypte du même nom. (Mercure de Gaillon n°1)

- La lignée des seigneurs de Gisors restituée avec, entre autres, un document de première main le manuscrit de l’abbé Deniau. Les liens unissant la famille de Gisors et les Templiers à l’ancienne capitale du Vexin s’en trouvent éclaircis. (Mercure de Gaillon n°2)

- Les vers inédits et limpides du manuscrit d’Antoine d’Orival sans commune mesure avec ceux déjà connus. Ils nous ont livré le secret du « coffre d’OR » enceint dans la muraille de l’église. (Mercure de Gaillon n°3)

- Une information sur Henri II, roi d’Angleterre qui se fit Templier. Ainsi l’influence de l’Ordre ne put jamais disparaître de Gisors (Mercure de Gaillon n°4).

- La lignée des Saint-Clair faisant la différence entre les deux branches : celle de Basse- Normandie partie en Ecosse et celle de Haute-Normandie restée à Saint-Clair-sur-Epte. (Mercure de Gaillon n°3).

A GAILLON, nous avons : 

- Epluché la bibliothèque de la Chartreuse et du château.  (Mercure de Gaillon n°1 et suite dans le N°5)

- Ouvert la porte du corridor étrange entre Normandie et Languedoc avec la clef Arcadienne du Lydieu (Mercure de Gaillon n°3).

- Retrouvé la filiation entre les familles de Madrie et les comtes du Razès. (Mercure de Gaillon n°1)

Et les recherches d’Anne-Marie Lecordier autour des artisans bâtisseurs de Gaillon n’ont pas été vaines. Nous connaissons un peu mieux ces maçons et autres artistes venus œuvrer au château.

S’ajoute à cela, dès aujourd’hui, un manuscrit curieux retrouvé à la BnF provenant de la bibliothèque de Georges d’Amboise à Gaillon : De Notuli Radensis, qui se traduit littéralement par « Des remarques sur le Razès », rien de moins. Histoire à suivre pour tous les passionnés de l’énigme de Rennes-le-Château dans notre n°5.

A RLC-RLB, outre les dossiers Lobineau (Mercure de Gaillon n°2), le Codex Bezae (Mercure de Gaillon n°3) et les Réponses des Oracles Sacrés, le Bréviaire Romain nous a donné le fin mot du texte gravé sur le bas-relief de l’église et reproduit dans le grand parchemin (Mercure de Gaillon n°4).

Les lignées des familles de Blanchefort et de Blanquefort furent rectifiées (Mercure de Gaillon n°2), complétant notre publication sur la toile. De même, nous en savons un peu plus sur les secrets de famille de Nicolas Poussin, un des maîtres des clefs (Mercure de Gaillon n°4).

Je tenais aussi à remercier tous les auteurs qui nous ont fait voyager à travers cette France mystérieuse que nous aimons tant et au cœur des sociétés secrètes : dans le Rouergue et à Orval avec Maurice Monnot, à Stenay avec Johann Netchacovitch, Isaac Ben Jacob, Daphné, à Rochemaure et autres hauts lieux du carré magique avec Marc Lebeau.

Vous avez pu retrouver tout cela soit sur notre site Internet ou dans notre magazine tout au long de cette année.

Et l’aventure continue cette année. Dans le N°5, Catherine Pierdat nous guide sur les traces de Marie-Madeleine en France. Johannes analyse les récentes découvertes faites sur le fameux tombeau de Talpiot. Elen Trevezent nous fait visiter Bourges, ville de tous les mystères. Marc Lebeau poursuit son périple du carré Sator.

 

Nous avons parfaitement conscience que distribuer ce type de magazine dans le grand public est une gageure. Nous avons pris le risque de le faire sans publicité en 2008 tout en sachant pertinemment qu’une fraction de lecteurs avertis serait touchée. A vaincre sans péril on triomphe sans gloire, nous dit le vieil adage.

Mais nul n’est obligé de rester dans l’ignorance. La Connaissance est à la portée de tous quand on veut s’en donner les moyens.

Le Mercure de Gaillon est relativement bien connu aujourd’hui. Toutefois, la difficulté que nous rencontrons pour nous faire distribuer dans tout le pays, les coûts exorbitants de commission pris par certains diffuseurs nous obligent à revoir nos prix à la hausse au numéro. L’abonnement restera au même tarif en 2009.

Ceci dit, rien ne garantit la pérennité du Mercure de Gaillon dans sa formule magazine actuelle, sans publicité.  Nous savons de plus qu’on voudrait bien nous voir disparaître, car nous dérangeons semble t’il. Les coups bas ne manquent pas. Hélas, tous les oiseaux de mauvais augure sont condamnés à se brûler les ailes aux feux des projecteurs et à picorer dans la basse-cour en compagnie des veaux, vaches, cochons et autres couvées.

Le Mercure de Gaillon continuera de paraître sous n’importe quel format. Une nouvelle stratégie est en marche.


 

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