Part I - Remarques sur un feuillet du Livre de Tobie, mis en vente chez Drouot Part II - Révélation d’un manuscrit clé du dossier Saunière et des archives Hautpoul Part III - Archives d'Hautpoul ou les "comptes" de la Fontaine Part IV - Aux sources de l’Ordre de Sion et de la Fontaine Part VI - Le coffre scellé des Hautpoul ![]()
Le hasard a ses raisons que la raison ignore ! On aura tôt fait de classer quelques faits troublants et gênants de l’affaire Saunière dans le casier des coïncidences. Ce hasard a voulu qu’une de nos correspondantes et rédactrice du blog Generennes, Anne de Varax, ait eu une parente éloignée en contact avec l’abbé Saunière. Mlle Louise de Varax, habitant le château de la Duchère à Lyon, envoyait régulièrement des intentions de messes à notre cher abbé[1]. Rien de plus banal me direz-vous ! Mais au moins ici on retrouve une preuve écrite de lien direct. Le fond et la forme Le
Mercure de Gaillon n’a pas pour habitude de diffuser des informations basées
sur des conjectures aléatoires ou de simples conjonctions d’évènements reliant
des personnages n’ayant rien en commun pour étayer une hypothèse. Il
est assez simpliste de monter un scénario montrant les affinités entre tel
auteur, aventurier célèbre et tel personnage de l’affaire de Rennes-le-Château.
Il suffit de faire une recherche sur Google Book pour
dénicher l’extrait d’un livre mettant en exergue une relation supposée entre
deux individus et de tisser la trame d’une histoire extravagante pour la
qualifier de « scoop ». L’histoire
de Rennes-le-Château regorge d’affabulations en tout genre. Mais échafauder un
scénario d’une dizaine de chapitres en se référant à un extrait de trois lignes
dans le meilleur des cas, pêché sur Internet, cela tient à la fois de l’exploit
et de la plus grande tartuferie. D’autres, à défaut d’exposer de véritables
recherches de fond, étaleront leurs souvenirs passéistes d’une histoire dont
ils n’ont plus la maîtrise, espérant ainsi captiver le lecteur qui se sera,
hélas, endormi dès la fin du premier paragraphe.
Par des effets de manche, on tentera sans doute d’attribuer la confection des parchemins codés de l’abbé Saunière à l’aventurier de circonstance et pourquoi pas à son réseau de clubistes mythomanes. Ph. De Cherisey étant hors jeu pour cette supercherie, il faut bien trouver quelque bouc émissaire superfétatoire ! Tel
un Golem, les manipulateurs façonnent l’histoire du curé aux milliards, usant
et abusant de la « Terre Rouge », dans le seul but d’asservir un
auditoire et de servir des intérêts particuliers au détriment de ceux du plus
grand nombre attendant la vérité. Ce n’est pas une méthode de travail objective
et sérieuse. Enliser dans les champs de glaise du discrédit, d’aucun devra
revoir sa copie ou la jeter au panier s’il ne veut pas finir pétrifié en statue
de sel. Louise
de Varax n’est pas la femme « qui a vu l’homme
qui a vu l’ours ». Elle n’est pas plus impliquée dans le secret du curé de
Rennes-le-Château. Elle était juste une correspondante. On n’en fait pas pour
autant l’interlocutrice privilégiée de l’abbé Saunière, assortie d’un pataquès impénétrable. Origine de rapports en chaîne Je
pourrai tout aussi bien monter un scénario en y incluant mes différentes
découvertes révélées depuis 2005 : du Codex Bezae,
au Liber Tobiae et l’Ordre des Chevaliers de Sainte
Marie Madeleine. Par chance, les
protocoles de recherche du Mercure de Gaillon sont plus rigoureux que cela. Beaucoup
de pièces de ce puzzle trouvent maintenant leur place et dévoilent une image claire
et inquiétante de l’énigme, sans avoir recours à quelques
« rapports » plus ou moins douteux, tel le rapport indûment attribué
à Ernest Cros par exemple. Ne sachant pas trop quoi en penser jusqu’à lors, j’avais mis ce texte de côté. Pléthore de faux documents ne participe pas vraiment à émettre un jugement favorable. Toutefois, ce texte est intéressant puisqu’il entre dans la stratégie de manipulation à l’attention unique des chercheurs.
L’idée
n’est pas de nier les données réunies par l’ingénieur Cros mais plutôt de
mettre en lumière la conception et l’origine des pages dactylographiées
circulant dans la sphère « RLCéenne »
depuis bientôt 60 ans. Ce document est le premier à restituer pour partie le
texte gravé sur la dalle funéraire de la Dame de Blanchefort
(Cellis, Arcis, Reddis, Regis), effacé par l’abbé
Saunière. Il apporte également les premières infos quant à la pierre dite de Coume-Sourde, la rattachant de facto à l'énigme. On ne connaît pas réellement les motivations de l'ingénieur Cros sur cette liaison lapidaire. Pourquoi a t'il vu une corrélation entre l'artefact de Coume-Sourde et les mystères entretenus par son ami prêtre à Rennes-le-Château ? Cette question reste sans réponse dans l'immédiat. Mais le plus époustouflant reste à venir : une facette inédite du rapport va mettre le feu aux poudres d'un feu d'artifice de révélations inimaginables jusqu'à présent.
On compte généralement deux versions de son rapport : une version attribuée à Noël Corbu et une version attribuée à René Chesa. Chacun de ces textes se distinguent par de petites variantes[2]. Or, il existe une troisième version qui pourrait bien être la mère de toutes les autres. Ce
document de huit pages non datées semble être connu de certains chercheurs/auteurs
mais bizarrement nul ne le décrit dans le détail. Dans son « Histoire du
trésor de Rennes-le-Château », Pierre Jarnac évoque[3] un
document de huit pages sans reproduire le texte, renvoyant le lecteur au livre
de R. Charroux « Trésors du Monde » (pp.253-255, ed. de 1972). Or, cet ouvrage soulève plus de questions que
de réponses. On s’en souviendra par le plagiat de Pierre Plantard publié dans le
fascicule « Un trésor mérovingien à Rennes-le-Château, d’Antoine l’Ermite ». Afin de réaliser cet apocryphe, il s’était
servi de la première édition de 1962 de R. Charroux ne contenant aucune
référence à Ernest Cros ou à la dalle de Coume-Sourde.
L’édition de 1972 révèle d’autres « aberrations » patentes intentionnelles. Le
Mercure de Gaillon a pu se procurer une copie du document de huit pages,
sensiblement différente de celle de P. Jarnac. Elle m’a été remise par un ami
chercheur, Jean-Luc Nozière, fin connaisseur de
l’affaire et des magouilles associées entre les années 70/80. Le fichier est
disponible en téléchargement public dans le FANUM I (GRATUIT !). Bien
qu’il n’y ait pas de disparité fondamentale dans le texte, on constatera
rapidement des nuances indéniables dans la mise en page, en totale divergence avec
les deux autres versions (Corbu/Chésa).
Ce
qui est frappant au premier abord, dans notre exemplaire, c’est l’entête et
l’identité maquillée du rédacteur absente sur les autres retranscriptions.
Seul, son lieu de résidence est mentionné sur notre document. Nous avons affaire
à un auteur, habitant Soisy-sur- Seine dans la région
parisienne, dont le nom a été scrupuleusement biffé par un tiers. Jean-Luc Nozière qui eut le document original entre les mains avant
d’en faire la photocopie avait remarqué, par transparence, que le nom occulté
commençait pas « S » et se terminait par « ON », à
savoir : Monsieur S….ON (?).
Qu’on
se rassure, ce nom contient peut-être un « i » mais comporte plus de
quatre lettres ! Indubitablement, cet inconnu ne l’est pas pour tout le
monde. Un chercheur de la place pourrait-il nous renseigner sur ce point ? A fortiori, ce n’est pas Ernest Cros apparaissant seulement comme source principale d’informations d’après un « Extrait de livre. Recherches de Monsieur l’ingénieur en chef Ernest Cros, entreprises dans la Haute Vallée de L’Aude surtout dans les années 1920/1943. Monsieur Cros », inscrit en haut à gauche de la première page. Outre le titre, cette entête n’est pas intégralement retranscrite par P. Jarnac possédant une copie de huit pages remaniées (sic). Les termes « extrait de livre » et « Monsieur Cros » sont absents de son étude ainsi que l’identité masquée de l’inconnu de Soisy-sur-Seine. Ce qui ferait de la liasse de P. Jarnac une quatrième version (soit la troisième copie altérée après celles de Corbu et Chesa). Par
ailleurs, les croquis de la version « Soisy »
sont tous manuscrits, plus ou moins tracés, comme s’il s’agissait d’une
maquette ou d’un brouillon, contrairement aux deux autres où nous les
retrouvons dactylographiés. On
observe un seul ajout notoire dans le texte dans la version Chesa quand
E. Cros interroge B. Saunière : « Vous rappelez vous, Mr le curé, les
lettres et signes gravés sur la dalle ? Réponse – Je ne me rappelle
d’aucune lettre et d’aucun signe sur la dalle » (*). Ces propos sont
manquants dans les versions Corbu et Soisy. La version Corbu et
Chesa comportent une addition inexistante dans l’original
Soisy : le PS entouré d’une spirale a été ajouté
à posteriori bien qu’il en soit textuellement question dans les trois versions
et dans le texte de R. Charroux. De plus les crochets inclus dans le vocable ARCIS sont en totale opposition dans les copies connues. Voyez également les notes complémentaires en bas de page concernant la datation du document Soisy. Tableau
comparatif des principales variantes :
Egal
à lui-même, Ph. De Cherisey
s’était attribué la paternité du rapport. Et pour cause ! Sachant comment avaient
disparu les archives d’E. Cros, il valait mieux pour lui avoir des arguments,
mêmes bancales, sous le coude. En effet, le marquis résidant à Paris ne pouvait,
à l’évidence, en être l’inventeur. De plus, les mentions manuscrites ne sont
pas de sa main et la profusion de variantes abonde en sa défaveur. De quelle
copie pourrait-il être l’auteur ? La
collation des indices éparses laisse apparaître une vérité sans
équivoque : le pseudo « rapport Ernest Cros » a été rédigé par l’homme
mystère de Soisy-sur-Seine dans les années 50. C’est une compilation d’extraits
de publications plus conséquentes natives des archives de l’ingénieur conservées
par sa famille et volées par la suite. R.
Charroux aura vraisemblablement obtenu une copie de la version Soisy qu’il va extrapoler à sa guise dans son ouvrage de
1972. A l'instar de G. de Sède dans L'or de Rennes, il ira même jusqu’à prendre certaines libertés avec les croquis
d’E. Cros. La pierre tombale de la Marquise va ainsi être agrémentée de deux
croix pattées et d’un dessin, généralement octroyé à la dalle de Coume-Sourde[4],
surmonté de plusieurs lettres sorties de son imagination.
Les
copies de N. Corbu et R. Chesa
sont, quant à elles, des répliques du texte original modifié qui a pu leur être
confié par la belle-soeur d’E. Cros, Octavie Lassave.
Elle avait rassemblé bon nombre de ses papiers avec l’aide d’un libraire de
Quillan[6],
familier probable du rédacteur de Soisy. De son côté,
le Prieuré de Sion aura reçu une copie par ce même vecteur ou bien il aura suivi
une filière beaucoup moins orthodoxe. Les archives d’Ernest Cros retrouvées. Malgré toutes ces suspicions, force est de constater les concomitances entre les notes du primo rédacteur du rapport Cros, le substrat du « commentaire ancien » (Regis, Arcis, Cellis, Reddis) du Liber Tobiae et les archives « du coffre d’Hautpoul » sur un point essentiel : les allusions aux détenteurs du Secret, à savoir l’Ordre du Temple et les familles nobles du Razès. On notera également la confirmation de la découverte de parchemins sous l’autel lors des premières réparations de l’église par B. Saunière. Le document chirographe invoqué dans le commentaire ancien s’assimile parfaitement à ceux-ci.
Le
Mercure de Gaillon n’a pas eu besoin du présumé rapport Cros pour découvrir ces
informations. Seules les archives d’Hautpoul mises en
vente en 2009 et la mise au jour de l’Ordre de Sainte Marie Madeleine nous ont
permis de pointer du doigt les archives de l’Ordre du Temple et la transmission
du Secret entre certaines familles nobles du Razès. La
découverte de parchemins sous l’autel évoquée dans le rapport prouve incontestablement
l’existence de ces documents dès les prémices de l’affaire et qu’ils ont pu
servir de matrice aux curés des deux Rennes pour crypter leurs propres
parchemins. Nous avons pu le prouver en décortiquant les arcanes du Codex Bezae En
fait, si les notes du primo rédacteur contiennent bien des informations
recueillies par Ernest Cros entre 1920 et 1943, nous devons en déduire la
connaissance par ce dernier des archives du « coffre d’Hautpoul » (qui seraient vendues aux enchères en
2009). Compte tenu de sa relation avec l’abbé Saunière, il nous est même permis
d’admettre un lien ostensible avec l’auteur du « commentaire ancien ».
Les similitudes entre la teneur du rapport et cet écrit, dont nous
n’avons eu qu’un bref résumé, sont si fortes qu’elles font inévitablement de ce
commentaire une pièce maîtresse provenant des archives disparues d’Ernest Cros[7] :
CQFD ! Par contre, notre ingénieur, aussi érudit soit-il, avait une méconnaissance
totale du Codex Bezae bien qu’il évoqua l’existence
de parchemins sous l’autel. Nous
suspections déjà l’abbé Boudet d’avoir transmis ses
parchemins codés au Dr Paul Courrent. Nous pouvons encore supposer une communication d’autres
archives par B. Saunière à l’attention d’E. Cros. La
première vente aux enchères relatives au Livre de Tobie et aux archives du
coffre d’Hautpoul avait amorcé une enquête en
situant le contexte à Rennes-le-Château lié à un ecclésiastique auteur du « commentaire
ancien », selon l’expert. Ce constat tend à être clarifié, voire réajusté.
La
deuxième vente nous donnait des précisions sur un site à explorer. En 2010,
cette révélation avait mis en effervescence une coterie de busards, avide de
reconnaissance, prétendant avoir découvert la caverne de l’abbé dans notre
secteur de recherche. Pour eux, il en résulta la mise au jour d’un « piège
à vent », voire à gogos, dans lequel
tous les médias de France et de Navarre s’engouffrèrent illico pour s’y laisser
prendre. Tandis que notre site archéologique, certifié
dans un acte authentique notarié, restait vierge de tout ingérence extérieure. Enfin, la troisième vente semblait apporter des renseignements sur le vendeur, détenteur des archives d’un érudit local. Aujourd’hui nous pouvons affiner notre propos en affirmant qu’il s’agit d’une organisation, « société discrète », franco-espagnol (ou son mandataire) ayant en sa possession les archives d’Ernest Cros, notre érudit local définitivement identifié[8], auteur du commentaire ancien rédigé à l’aide des archives d’un ecclésiastique du début du XXe siècle[9]. Ici, B. Saunière est reconnu comme le meilleur candidat potentiel. Cela va de soi ! D’autant plus qu’un sous-entendu au cryptogramme du Sceau Pêcheur[10] nous plonge au coeur des archives personnelles de l’abbé. Même
si rien ne prouve de telles assertions, la confrontation des documents en notre
possession se suffit à elle seule. La juxtaposition des indices relevés dans le
commentaire et ceux du rapport Cros nous permettent d’être affirmatif à
99%. Néanmoins, il est regrettable de n’avoir qu’un résumé du dit commentaire.
Malgré nos multiples suppliques auprès de l’expert, nous n’avons pas pu obtenir
une copie de l’original. Elle nous aurait pourtant fourni d’autres indications
primordiales, indispensables à la manifestation de la vérité. Si on y ajoute tous les faits entourant la
mystique du Codex Bezae et les divers Ordres
initiatiques mis au jour, le sac de noeuds tend, somme toute, à se desserrer. Les
investigations ont été longues depuis la dernière publication. Nous avons pris
le temps nécessaire pour effectuer l’expertise des nouvelles données arrivées
en cascade validant nos protocoles de recherche. Nous y reviendrons assurément.
Les Terres Rouges de Rennes-le-Château n’ont pas encore révélé tous
leurs secrets.
Notes
complémentaires (1) : Certaines
discussions sur le réseau m’obligent à effectuer une mise au point sur quelques
faits de datation que je pensai jusqu’à maintenant inutile de préciser puisque
ça n’apporte rien au fond du problème. C’était sans compter sur une cohorte de
détracteurs qui, comme dans le cas du Codex Bezae, en
ont profité pour remettre en cause mon hypothèse, parfois en simple candide se
posant des questions légitimes ou plus souvent en brandissant l’étendard
hystérique du « moi je sais tout » espérant ainsi réduire à néant mon
étude. C’était à douter. On ne vient pas « braconner » impunément sur
les chasses gardées de la Terre Rouge. Or, le Mercure de Gaillon sait
parfaitement à quoi s’en tenir et évite les tirs à vue en avançant armé et
casqué dans la jungle rhedaesienne. Donc pour être
plus précis sur ces dates superflues : 1/
Le texte original du rapport doit dater du début des années 60 (1960/1961).
J’aurai même pu donner 1962 ou 1959 puisque le document Soisy
mentionne 1958 à la fin (et non 1959
indiqué sur les versions Chesa et Corbu).
Mais restons sur 1960 sinon nos détracteurs en rage vont encore se mettre la
rate au court bouillon. 2/
Dans le document Soisy, la mention (((Depuis 1971 se trouve à Rennes-le-Château
-Promotion))) (sic) relative à la « dalle des chevaliers »[11] est une
indication postérieure à 1960 ajoutée soit par l’auteur de Soisy
soucieux de mettre à jour son doc ou bien par une
tiers personne, copiste du document Soisy. Personnellement,
rapport à l’entête du document, je pense plutôt à une mise à jour de l’auteur
principal vers 1972. Cette mention ayant été supprimée des versions Chesa et Corbu, il m’a semblé
inutile d’y porter plus intérêt. Pour ma part ça fait partie des ces « nuances indéniables dans la mise en page » et son origine coulant de source ne remet aucunement en cause le texte original quel que soit la copie (de
la première à la énième pouvant exister !) ou la première date d’écriture. Gageons
que cette mise au point n’entamera en rien la détermination et les veines
gesticulations de nos détracteurs, coupeurs de cheveux en quatre. Mais n’en
déplaise aux donneurs de leçons, le document Soisy
révélé ici contient le texte original du rapport attribué à Ernest
Cros, matrice des autres versions connues. La mise en forme de l’entête du rapport en est la preuve manifeste. Dans
le cas contraire, il faudra que l’on m’explique pourquoi un individu habitant Soisy sur Seine, souhaitant garder l’anonymat, s’approprie
les notes d’un autre chercheur tout aussi anonyme. Cela s'apparenterai à un plagiat n'ayant aucun de sens. Surtout en y ajoutant des notes de datation ou comme au bas de la page 5 du rapport Soissy cette note de lecture « (1) lire : indication ou inscription » (sic), absente des autres transcriptions. Les copies Chesa et Corbu contiennent le mot indication alors que le texte original Soisy contient le mot inscription. Un échange sans conséquence révélant la personnalité du véritable auteur du texte. A
l’évidence, quelles que soient les dates estimées par nos soins ou mentionnées dans le document
Soisy, l’auteur de ces notes baptisées improprement
« Rapport Cros » est obligatoirement l’habitant de cette ville de
Région Parisienne. Th. Garnier En collaboration avec
J.-Luc Nozière (1) Mis à jour le 01.09.2015 et le 02.09.2015 © 25 août 2015 - M2G éditions. Toute reproduction interdite sans autorisation de l'auteur. [1]
Rennes-le-Château, cahier de correspondances 1915-1917, P. Jarnac. [2] Cf. site RLCdoc : http://www.asso-rlcdoc.dafun.com/etudesetarticles.php [3] Histoire du
Trésor de Rennes-le-Château, P. Jarnac, éd. Belisane,
p.300. [4] Trésors du Monde, R. Charroux, éd.
Fayard 1972, p.254. [5] Op. cit. voir les planches hors textes. [6] Histoire du Trésor de Rennes-le-Château, p.300. Voir également, RLC étude critique de F. Marie, éd. Vérités Anciennes1978, p.30. [7] Les Archives de
RLC T.2, P. Jarnac, éd Belisane, p.371. [8] cf. Le Mercure
de Gaillon les Archives du Serpent Rouge N°12. [9] Cf. Commentaire
ancien [10] Ibid. [11] Dalle entrée
au musée lapidaire de Carcassonne en 1956. |