Part II - Révélation d’un manuscrit clé du dossier Saunière et des archives Hautpoul Part III - Archives d'Hautpoul ou les "comptes" de la Fontaine Part IV - Aux sources de l’Ordre de Sion et de la Fontaine Part V - Les secrets de la Terre Rouge Part VI - Le coffre scellé des Hautpoul ![]()
Origine et
but Ce 29 mai, un document exceptionnel
a été mis en vente aux enchères chez Drouot à Paris (maison de ventes LAFON SVV, expert
Roch de Coligny) et annoncé sur la Gazette de
Rennes-le-Château : un feuillet d’une ancienne Vulgate manuscrite en latin sur
parchemin datant du XIIe siècle, comportant les premiers versets du
livre de Tobie. Le verso du manuscrit est masqué. « L’écriture de ce feuillet de Bible
situe indubitablement sa réalisation dans le scriptorium épiscopal de
Chartres » est-il encore précisé dans le catalogue de
la vente. « C’est toutefois un enlumineur jusqu’ici inconnu,
travaillant dans le scriptorium
épiscopal de Chartres, qui a dessiné, peint
& doré la grande lettrine de notre feuillet de Tobie. [...] . Ce feuillet
semble donc être un témoignage unique de l’oeuvre de ce peintre attaché à l’escritoire cathédral de
Chartres. » Œuvre si unique qu’il est impossible de
rapprocher son texte latin de la Vulgate classique. Le texte est écrit dans les
règles de l’art très proche de la divine proportion (ou
nombre d’or), selon le cabinet d'expertise. Et d’ajouter : « Nous avons donc là un bon exemple de
composition, dont les harmonies & les proportions, voire la symbolique,
restent encore à découvrir. » Nous passons rapidement sur les détails de
style. Le lecteur pourra lire le compte rendu de l’expert ici ou à cette adresse mirror si le catalogue à disparu. L’authenticité
du document n’est pas à remettre en doute, puisque l’expertise est formelle.
Toutefois, l’estimation est importante, entre 4000 et 8000€, pour un seul
feuillet. A notre humble avis, rien ne peut le justifier : ni la date, ni la calligraphie, ni les enluminures, ni son état général. En
réalité, la valeur du document pourrait avoir été motivée par l’apport de quelques
commentaires s'orientant vers l’affaire Saunière et ce malgré les dénégations de
l’expert, faisant fi de toute chasse au trésor. Ce qui ne remet pas en cause sa bonne foi. Sans
être prophète, nous disions encore récemment, compte tenu des révélations en
cours notamment sur le Codex Bezae, que nous verrions apparaître sur le marché
de nouvelles pièces du dossier. Par un heureux concours de circonstances cela se confirme aujourd'hui. Première
« Orient à Sion »
Dès les premières lignes de la description le ton est donné : « Au
XVIIIe
siècle, le verso de ce feuillet a été masqué par du carton collé ; le parchemin
a ensuite servi de chemise pour renfermer différents documents médiévaux (dont
les franchises de Bugarach en 1307)
réunis par un notaire de l’Aude (Bernard Siau à
Couiza) qui détenait de nombreux manuscrits dans le “coffre d’Hautpoul”. Le
texte du verso reste donc à découvrir après décartonnage. » Or, ceux qui s’intéressent de près à cette
histoire connaissent l’implication de la
famille Siau, notaire à Espéraza et Couiza. Le plus
étrange est que c’est le notaire d’Espéraza, Jean-Baptiste Siau,
qui gérait principalement les affaires de la famille d’Hautpoul vers 1780.
Comment Bernard Siau, notaire à Couiza à cette
époque, pouvait-il détenir « un coffre d’Hautpoul » ? Selon R. Descadeillas les d’Hautpoul se
seraient adressés à l’un comme à l’autre[1].
Nous savons que J.-B. Siau était l’homme de confiance
de François d’Hautpoul-Rennes et qu’il ne transmit
jamais, certaines pièces testamentaires de 1644 à ses descendants, prétextant
de leur trop grande importance (effet de nuisance ?). Les documents seront
donnés plus tard à l’une des filles de François, Elisabeth, d’après diverses sources
publiées. Cependant elle ne voulut jamais les communiquer et ces pièces ne seront plus jamais retrouvées. Nous y reviendrons. Mais que contenait ce coffre d’Hautpoul
chez le notaire de Couiza à part les franchises de Bugarach en 1307 ?
En 1752, François d'Hautpoul possédait
Rennes, Granès, Saint-Just, les Bains-de-Rennes,
Bugarach, Le Bézu, Roquefeuil
entre autres. Bugarach et Le Bézu avaient appartenu à
Pierre de Voisins au XIIIe siècle[2]. Le feuillet du livre de
Tobie servit de chemise à une liasse de documents appartenant aux Hautpoul-Rennes. N’était-il pas sacrilège vers 1780 d’utiliser
une œuvre religieuse pour recouvrir quelque document administratif ? Ce
sont là des pratiques dignes des révolutionnaires de 1789. Faut-il y voir un
signe particulier ? L'expert rappelle sur point que c'était l'usage, même avant la Révolution, compte tenu que les bibles imprimées avaient remplacé les manuscrites. De plus, il serait tout à
fait singulier que le vendeur n’ait jamais jeté un œil sur la partie cachée,
collée. Avec les techniques scientifiques actuelles il est très facile de
visionner ce type de document sans détériorer le matériel. Techniques coûtant
très cher certes, mais quand on possède une telle collection de documents on a
les moyens de réaliser ces travaux.
Deuxième
« Orient à Sion » Tout serait passé comme une lettre à la
Poste s’il n’y avait eu ce Résumé d’un commentaire en ancien ainsi
introduit : « Nous
donnons ici le résumé d’un long commentaire biblique & historique, écrit au
début du XX e siècle, et qui
accompagnait ce feuillet enluminé. Son auteur était vraisemblablement un
ecclésiastique, qui avait eu accès au “coffre d’Hautpoul” dans lequel ce
document était conservé ». Qui pourrait être cet
ecclésiastique ayant pu avoir accès à un « coffre d’Hautpoul » mis en
séquestre chez le notaire de Couiza, Bernard Siau au
plus tard vers 1780 ? Là nous pourrions mettre en cause
l’abbé Bigou. Cependant il ne peut être l’auteur des quatre pages de
commentaires écrites au début du XXe siècle. Dans ce cas il ne peut
en rester qu’un, si l’on reste sur Rennes-le-Château : Bérenger Saunière. Ou, si l’on veut se déplacer géographiquement vers
Rennes-les-Bains, on pourra lui associer l’abbé Boudet. Nous pouvons encore supposer que
le notaire de Couiza de l’époque, Narcisse Trajan était sans doute associé avec
Paul Roché[3],
père de Déodat chantre du catharisme. N. Trajan était
l’un des successeurs de l’étude de Bernard Siau. Ce
dernier décédé en 1786, passa la main à Anselme Lepaige. Nous sommes aux alentours de 1860 quand Louis Lepaige, fils du précédent reprend l’étude. Paul Roché était non seulement le
notaire de B. Saunière à Arques[4]
mais aussi conseiller général à Couiza, chef-lieu de canton[5]
où il se déplaçait fréquemment pour régler ses affaires. Ainsi le curé de
Rennes-le-Château aurait pu avoir accès au « coffre d’Hautpoul » à
Couiza. Nous spéculons, mais il ne faut rien négliger et nous devons faire
avancer l’enquête. Troisième
« Orient à Sion » Les détails de ce commentaire mis
en lettres capitales ne laisse pas de place au doute. En voici le relevé avec
ce que cela sous-entend. TEMPLE DE JÉRUSALEM :
son trésor pillé par les Romains, puis les Wisigoths à Rome est une des
hypothèses pour la résolution de l’énigme de Rennes-le-Château. IL EST PERMIS AUX JUIFS
DE SUIVRE LEURS LOIS : renvoie vers les Tables
de la Loi et l’Arche d’Alliance. DIX TALENTS D'ARGENT : magot symbolique, mais primordial dans toute
bonne chasse au trésor. DOCUMENT MANUSCRIT - SUB
CYROGRAPHO : nous envoie évidemment sur la
piste des parchemins que nos curés audois auront codés en usant du Codex Bezae
(copie ou partie cachée dans le pilier Wisigoth), mais aussi à un aspect
gaillonnais révélé récemment[6]. CONSOLATION : un simple mot lourd de symbolisme nous
invitant à lever les yeux vers le fond de l’église et la fameuse montagne
fleurie, représentation du mont Bugarach surmontant le distique : « venez
à moi vous tous qui souffrez, qui êtes accablés et je vous soulagerai» D'UNE PERSONNE
ASSASSINÉE : sans doute une référence
à l’abbé Gélis et (ou) à Dagobert II. DÉMON ASMODÉE : nul besoin de préciser que le diable, gardien
du trésor du Temple de Salomon, nous ramène au
bénitier de l’église. TU AMASSERAS UN GRAND
TRÉSOR : ce qui est supposé être
arrivé à B. Saunière en suivant certain jeu de piste ancien qu’il aura ensuite
remanié. ![]() EX-BÉTHANIS : c’est la villa qu’il fait construite près du
presbytère IL EST BON DE CACHER LE
SECRET DU ROI : qui nous ramène à la lignée
mérovingienne perdue, bien que le secret du roi puisse être autre chose.
PÉRIRA PAR LE GLAIVE ET
LE FEU : indique s’il fallait
encore en douter, la clé « morte épée » nécessaire pour décrypter les
parchemins trouvé dans le pilier "Pénitence - Pénit EnSe", ce glaive à l'intérieur. SACRAMENTA REGIS, REDDIS
CHIROGRAPHUM, REDDAS CYROGRAFUM, IN ARCIS, IN SACCELLIS : derrière cette série de locutions latines,
l’allusion à la dalle du tombeau de Marie de Nègre est évidente - Reddis, Cellis, Arcis, Regis -, qui nous le
verrons plus loin s’apparente au « coffre d’Hautpoul ». RAGÈS ou RHADÈS :
l’auteur du commentaire veut implicitement lier son texte à Rennes-le-Château
en attachant grossièrement Ragès à Rhedes, l’un des anciens noms du village audois. Deux autres éléments écrits en
minuscule, Cyon et le poisson grillé, tendent vers l’analogie de Sion
et du « sot pêcheur ». Or Cyon n’est pas Sion puisque en grec Cyon
signifie, chien. Que vient faire « un chien grec » dans cette
histoire écrite en latin ? Un mot grec tombant à point nommé pour se rappeler
l’Alpha et l’Omega, les deux lettres grecques uniques des parchemins
codés de B. Saunière liés au Codex Bezae. Quant au poisson grillé seul, il est
très léger dans l’immédiat pour nous faire pencher vers la version du
cryptogramme « sôt pêcheur » connue.
Tobie, à l’instar d’Arsène Lupin,
n’est qu’un faire-valoir pour exprimer l’énigme sur le fond. Il est un thème
courant dans l’affaire de Rennes-le-Château. Michel Lamy, par exemple,
l’évoquait déjà dans son « Jules Verne, initié et initiateur »
en 1984. Opère à Sion,
commerciale ? L'expert rejette tout effet de marketing. Pourtant, arrivé à ce troisième point, il ne faut pas être grand clerc pour comprendre le but de la manœuvre commerciale.
Car, pour couronner le tout, le cabinet d’expertise indique dans une mise au
point : « Le "résumé d'un commentaire ancien" qui
termine les pages consacrées au feuillet de Tobie, est donné à titre indicatif.
Il n'entre pas dans la description du lot présenté à la vente, et à ce titre
n'engage nullement la responsabilité professionnelle de la maison de ventes ou
du cabinet d'expertise. Pour donner suite & fin aux demandes qui nous sont
faites, nous déclarons ne pas connaître l'identité de son auteur. Notre rôle
s'est borné à résumer & mettre en forme ce long commentaire écrit sur
quatre pages. Ce commentaire (bien plus récent que le feuillet de Tobie !) ne
sera pas présenté à la vente, sauf accord de dernière minute de la part du
vendeur (et auquel cas il sera vendu séparément). Encore une fois, nous
précisons que nous présentons à la vente le document dans sa stricte matérialité,
sans aucun lien avec des interprétations postérieures. » Ce genre de mise au point rend la vente encore plus attractive, même si l'expert n'avait pas idée des conséquences d'une telle diffusion. Elle démontre que les quatre pages servent uniquement d'appât pour la vente du feuillet de Tobie sans lesquelles il n'aurait aucun intérêt. Les quatre pages écrites de la
main de l’ecclésiastique anonyme ne seront pas vendues avec ce lot. Ou
après contre-ordre éventuellement, et vendues séparément. Ce qui est incongru. Quand on vend un tel document, on vend les
deux pièces en un seul lot. De plus il est quasiment certain que nous ne
verrons jamais l’intégralité de ce manuscrit si celui-ci trouve acquéreur. A
moins qu’il ne tombe entre les mains d’un éditeur qui se chargera de le faire
fructifier. Nous apprenons en dernière minute
que la « chemise de Tobie » s’est vendue à 12 000€. Autant dire que c’est
une chemise qui ne se donne pas. Plutôt paradoxal pour un homme qui aurait donné
la sienne. Nous pouvons vous assurer
immédiatement qu’M2G Editions en tant que maison d’édition ne peut se permettre
ce type de dépense exorbitante. Cela réconfortera peut-être ceux qui trouvent
opportun de critiquer notre mode de diffusion de documents par téléchargement
en accès restreint. Ils pourront comme cela acheter un livre publié par un
autre éditeur, vendu en librairie et trouver cette opération la plus naturelle
du monde. Identifie qu’à Sion L’authentification du commentaire
du début du XXe siècle est confirmée par l’expert. Il serait
cependant de bon augure de disposer d’un extrait du texte même une photo pour
comparer avec les écritures des différents protagonistes de l’affaire. Nous en
avons fait la demande. Nous attendons une réponse. En cas de réponse négative,
nous devrons en prendre toute la mesure. Le vendeur étant le donneur
d’ordre, on ne peut mettre en cause la probité de l’honorable salle des ventes
Drouot. L’expert n’a fait que suivre à la lettre les recommandations du client
de Lafon SVV. ![]() Qui peut être ce propriétaire
donnant charge à Lafon SVV de vendre une telle
collection de documents en plusieurs séances de 2009 à 2010/2011 ? « Cet
ensemble sera vendu en plusieurs fois durant les deux années qui
viennent », nous assure-t-on dans le catalogue.
Ensemble comprenant deux collections dont le contenu, pièces administratives,
généalogiques, religieuses etc. laisse perplexe. Le feuillet du livre de Tobie,
pièce tout à fait exceptionnelle, aura donc eu un parcours étonnant. De l’étude
d’un notaire de Couiza au XVIIIe siècle à un vendeur inconnu du XXIe,
l’écart est assez large, si l’on se réfère à l’expertise. Néanmoins, des interrogations
demeurent sur son cheminement à travers l’Histoire. En considérant le commentaire
de l’ecclésiastique comme authentique, et il n’y a pas de raison de penser le
contraire, la chemise de Tobie échut finalement dans les mains de
Bérenger Saunière. Ce dossier renfermait les actes propres à la famille
d’Hautpoul à Bugarach, entre autres. Nous pouvons envisager au moins deux axes de
captation : 1/ Par l’entremise des notaires
Roché et Trajan, respectivement d’Arques et de Couiza. 2/ La chemise de Tobie, et les
documents qu’elles contenaient, fut découverte par Saunière dans son église, dans
le tombeau des seigneurs de Rennes ou dans le tombeau de Marie de Négri d’Ables qu’il fouilla. Nous n’aurions alors pas
besoin du « coffre d’Hautpoul » du notaire au sens strict. Arcis Cellis etc. gravé
sur le tombeau de la marquise de Blanchefort (ci-contre) faisant parfaitement l’affaire. Arcis est une des désignations du mot coffre,
voire mortuaire. C’est aussi une allusion directe à un cercueil ou une
sépulture. Le coffre d’Hautpoul est le tombeau des seigneurs ou de la dame
de Blanchefort auquel a eu accès l’abbé Saunière, très aisément.
Dans tous les cas, le curé de
Rennes-le-Château (voire Boudet de Rennes-les-Bains) rédigea le commentaire,
après cette découverte. A sa mort, Marie Denarnaud
hérita de tous ses biens, y compris de ses archives. Toutefois, nous supposons que le Dr Paul Courrent, médecin traitant de Saunière affilié à la SESA, a pu récupérer quelques documents appartenant à notre curé. Nous savons que Pierre
Plantard et Philippe de Chérisey se sont servis dans cette mâne comme dans
celle de l’abbé Boudet pour élaborer leur plan. Il faut donc en déduire provisoirement que « la
chemise et le commentaire de Tobie » sont des pièces authentiques
provenant des véritables Dossiers Secrets mis sous clé dans une banque
d’Angleterre[7].
Des dossiers qui sont encore en possession d’un certain Prieuré de Sion qui
serait le vendeur véritable. Nos affirmations sont audacieuses, mais tout va
dans ce sens. Une autre pièce de cette
collection penche en faveur de notre hypothèse que nous soutenons depuis toujours. Il s’agit d’une bulle papale
n’ayant pas encore été mise en vente et passée complètement inaperçue. C’est
une bulle du pape Alexandre III de 1164 confirmant les
possessions de l’Ordre du Saint Sépulcre.
Or, cet acte pourrait bien être l’original ou une charte similaire au duplicata
officiel de la bulle de 1178 publiée dans « le Message »[8].
Cette charte confirme les possessions en Palestine, en Sicile etc. de l’Ordre
du Saint-Sépulcre, appelé pour l’occasion Ordre de Sion. L’acte se
présente sous la forme d’un duplicata datant de 1337. Il émane du Prieuré de
Sion de 1956 qui tente ainsi d’attester de son antiquité. L’amalgame des auteurs
du « Message », Ordre de Sion = Prieuré de Sion à la sauce anglaise,
est patent et par conséquent une foutaise monumentale. Le véritable Ordre de
Sion n’a rien à voir avec ce jeu de dupe. Cette vente sera à suivre de près,
car il est plus que certain que d’autres documents vont suivre ou alors tout s’arrêtera
vu le tapage engendré par cette première mise en vente.
Thierry Garnier Remerciements particuliers à : A-M Lecordier [1] Rennes et ses
derniers seigneurs, R. Descadeillas, p.129. [2] Cathares et
Templiers, par R. Reznikov, 1991, p.55. [3] Notaire à Arques
mais disposant sans doute d’une étude à Couiza. Cf. Carnets de correspondances
de B. Saunière, 24 juin 1903 : le notaire d’Arques invite Marie Dénarnaud à descendre à Couiza. [4] Cf.
Correspondance du 26 juillet 1899. [5] Almanach
national, 1900, p.839. [6] Cf. Mercure de
Gaillon n°5, Des Remarques sur le Razès, 2009. [7] Cf. l’Enigme
sacrée, Lincoln Baigent, Leigh. [8] Op.cit.
T.2 [9] Courriel du
03.06.09 |