Part I - Remarques sur un feuillet du Livre de Tobie, mis en vente chez Drouot Part III - Archives d'Hautpoul ou les "comptes" de la Fontaine Part IV - Aux sources de l’Ordre de Sion et de la Fontaine Part V - Les secrets de la Terre Rouge Part VI - Le coffre scellé des Hautpoul 
Avis d’expert, vers une évolue... Sion L’expert mandaté pour la vente,
contacté par nos soins, a transmis notre demande concernant le commentaire
ancien au vendeur. Nous attendons une réponse. Ceci fait, il nous a assuré ne
pas connaître les détails de l’histoire de Rennes-le-Château. Il précise que la
moindre ambiance intrigante autour d'un document est au contraire de nature à briser
la vente. S’il avait eu conscience du battage fait autour du commentaire
ancien, il ne l’aurait jamais publié. Comme souvent, le vendeur n'avait
pas notion de ce que valaient ou représentaient les documents confiés à l'expertise
puis à la vente. Le premier rôle de l’expert est d'informer les propriétaires
sur l'époque, l'intérêt historique et la valeur financière de leurs archives,
et souvent cela provoque l'étonnement. Et sur son blog
d’ajouter : « L'authenticité (des
documents - N.D.L.R.) est absolument garantie, et les
plus grands spécialistes en sont d'accord. Il n'y a pas l'ombre du moindre
doute à ce sujet. » « Notre rôle s'est borné à
résumer & mettre en forme ce long commentaire écrit sur quatre
pages. » « Nous précisons que nous
présentons à la vente le document dans sa stricte matérialité, sans aucun lien
avec des interprétations postérieures. » Nous n’avons aucune raison de
douter de sa bonne foi. De toute façon nous avons toujours dit que l’expert exerçait
son métier. Sur l’aspect des documents de la chemise il souligne : « Ce feuillet, ainsi que
d'autres documents qui seront présentés dans d'autres ventes, viennent en effet
des archives de la famille d'Hautpoul, qui fut seigneur de Rennes : il y a en
particulier une copie (1782) d'une transaction concernant Bugarach en 1307,
copie faite par Siau notaire à Couiza contre la dame
d'Hautpoul seigneuresse de Bugarach. » « Le notaire Siau a fait cette copie, requis par un habitant de Bugarach
qui lui-même avait obtenu une autorisation du parlement. »[1] Lire la suite...   Lire la suite de la 2e partie en ligne dans les Dossiers Inédits du Mercure de Gaillon (accès restreint aux abonnés du Mercure de Gaillon) ou
A suivre... dans Le Mercure de Gaillon, les archives du Serpent Rouge N°7 de juillet Thierry Garnier Remerciements particuliers à : A-M Lecordier |
