Sur la piste embrumée Explorer l’univers de Rennes-le-Château nous a
amenés à faire des découvertes surprenantes, voire exceptionnelles. Dans nos
précédents articles nous nous étions attachés à démontrer la véracité des
parchemins codés par Bérenger Saunière et Henri Boudet. Bon gré ou mal gré,
nous sommes parvenus à légitimer l’influence du CODEX BEZAE.
De plus nous avons eu confirmation récemment que l’abbé Boudet entretenait des
relations étroites avec la bibliothèque de l’Université de Cambridge. Cet
illustre institut possède en effet un exemplaire de La Vraie Langue
Celtique offert par son auteur[1]. Henri Boudet avait bien le moyen de se procurer un
exemplaire du Codex Bezae Cantabrigiensis
de 1899, s’il ne put avoir accès à l’original. Son histoire à partir du VIe siècle, son trajet jusqu’à Lyon nous est
également connu. Il est entré avec fracas dans le panthéon des pièces à
conviction de l’énigme des deux Rennes lui conférant une crédibilité
indéfectible. On ne peut pas en dire autant pour beaucoup d’artefacts connus,
comme la dalle de Coumesourde où le doute
subsiste toujours ou d’autres éléments arrivant comme par enchantement dans
cette énigme. Le plus souvent le nouveau matériel produit s’avère être des faux
grossiers. Le Codex Bezae est le manuscrit sur lequel
nous avons le plus d’informations irréfutables, quoiqu’on puisse médire sur le
codage dont nous affirmons avoir découvert la clé. Nos détracteurs oublient
généralement les connaissances ésotériques des prêtres d’avant Vatican II. S’il est difficile de comprendre le but d’un tel
cryptage, on perçoit peu à peu ce qui se cache derrière et l’on comprend mieux
qui en détient toujours les leviers de commande dans notre présent. Il s’agit là
d’une société secrète bien réelle, paradoxalement liée au frauduleux Prieuré de
Sion qui en était le paravent. Ce Prieuré réclamant sa légitimité en tant
qu’Ordre Rose-Croix a parfaitement rempli son rôle de
fantoche en diffusant pléthore de faux documents. Tous leurs stratagèmes
avaient pour objectif d’égarer les historiens et les chercheurs curieux d’en
savoir plus sur l’enrichissement aussi soudain qu’étrange de l’abbé Saunière.
Or, dans l’ombre, la véritable société secrète oeuvre encore pour retrouver des
secrets oubliés. Ces secrets avaient été retrouvés par Saunière et Boudet puis,
de nouveau, Saunière les aura habilement dissimulés. Est-ce encore les mêmes secrets qui attirèrent
Otto Rahn[3]
dans le Midi de la France dans les années 30 ? Allemand de nation, cet archéologue
et historien passionné d’ésotérisme, parti en quête du Graal, avait fini par devenir un apôtre du Nazisme. Aux sources du Codex Bezae Le Codex Bezae ou plutôt
des sections fondamentales de ce texte antique sont une partie du secret car
les écrits originaux ayant servi aux copistes du Ve
siècle sont des textes du IIe siècle issus
des sectes hérétiques. Nous l’avions déjà évoqué telle l’opinion émise par
divers philologues du XIX e siècle. Si nous le révélons avec autant
d’insistance aujourd’hui c’est que nous en avons la certitude. Nous allons
maintenant voir quels sont ces anciens manuscrits interdits, relatant la vie du
Christ, qui furent utilisés et où tout cela a commencé. La première étude moderne du Codex Bezae de l’université de Cambridge fut éditée sous
l’autorité de Thomas Kipling en 1793. Mais les premiers articles publiés datent
du début du XVIIIe siècle prenant en compte
uniquement le texte grec[4].
Théodore de Bèze avait refusé l’intégralité du manuscrit gréco-latin car le
latin ne correspondait pas totalement au grec. Les erreurs de syntaxe, trop
importantes à ses yeux, n’étaient pas la seule raison de cette mise à l’écart.
La traduction latine datant du V ou VIe
siècle était corrompue et Th. de Bèze en rejetait la faute sur les hérétiques,
rédacteurs des textes primitifs grecs. De plus, le matériel transmis par Robert
Estienne était fort endommagé. En 1707, le Dr J. Mill publia une version du
Nouveau Testament en grec à Oxford et le fit réimprimer en 1710 à Rotterdam. En
le comparant au latin, il affirmait que le grec était corrompu. D’autres
critiques prétendaient l’inverse suivant l’opinion de Th. de Bèze. Il a été
ainsi admis que les copistes latins s’étant succédé à la rédaction du Codex à
partir du Ve ont voulu actualiser la
version latine de ces évangiles selon les normes catholiques, laissant en
l’état le texte grec. L’évangile de Luc a été celui qui a subi le plus de
modifications[5].
Cela nous interpelle au premier chef car ce sont les premiers versets de
l’évangile de Luc qui ont été utilisés par Béranger Saunière et Henri Boudet
pour le codage du petit parchemin. Les anciens copistes auraient donc rédigé le
Codex en latin corrompu, pour suivre scrupuleusement les canons de l’Eglise
catholique[6],
non sans y avoir ajouté quelque message crypté, relatif aux anciennes croyances de
l’Eglise primitive, à certains objets, manuscrits ou lieux de culte. C’est une évidence. Nos recherches sur ces différents points nous ont
conduit dans l’Egypte du IIe siècle
où une profusion de sectes d’hérétiques a vu le jour et prospéré. Elles n’ont
jamais réellement disparu du pays. En effet, au VIIIe
siècle les hérétiques jacobites d’Egypte s’étaient emparés de toutes les
églises[7].
Les sectes impliquées dans la rédaction des
manuscrits sources du Codex Bezae sont, entre autres gnostiques :
les Valentiniens, les Sabelliens, les Ariens, mais aussi et surtout les Montanistes.
Chacun ayant laissé des écrits qui n’ont pas tous subsisté ou ont été dissimulés
dans les monastères égyptiens au sein desquels les hérésiarques avaient trouvé
beaucoup de partisans[8].
Les fragments les plus connus indiquent que ce pays renferme une foule de
monuments ecclésiastiques et de traités composés par ces hérétiques[9].
Rien de contradictoire à ce que la grande majorité du
matériel utilisé pour la rédaction du Codex Bezae au Ve siècle découle des textes
conservés en Egypte par la secte MONTANISTE, mouvement
chrétien fondé par Montanus, déclaré hérétique vers 177 ap.
J.-C. Les maîtres des secrets Montanus est né à Ardabau,
un village de Phrygie, Turquie d’aujourd’hui. Ancien prêtre du culte de Cybèle
converti au christianisme, il fut un chrétien de type charismatique. Il se convertit au
christianisme sans attendre et se fit voir comme le Paraclet annoncé par le
Christ, distinct de l’Esprit Saint promis aux apôtres. Respectant néanmoins les
dogmes de l’Eglise, il y ajoutait son orgueil de prophète. Avec sa Nouvelle
Prophétie il attira à lui grand nombre de visionnaires de tout poil. Hommes
et femmes arrivaient de toutes parts afin de suivre son enseignement. Un homme
nommé Alexandre et deux femmes Maximille et Priscille
abandonnèrent leur famille et vinrent à Montanus. Ils furent ses premiers
disciples. La doctrine des
montanistes était à la fois des plus progressistes et outrancièrement
rigoriste. Elle laissait de la place aux femmes dans l’ordre[10]
à l’égal des hommes. Priscille (ou Priscilla) fonda
un cercle au sein même de la secte où la femme commandait à l’homme, recevait
la prêtrise et l’épiscopat. Sur ce plan, Montanus se rapprochait de l’esprit
des Evangiles Gnostiques découverts en 1945 dans le désert Egyptien[11].
L’ordre des Fidèles d’Amour d’Occident, mouvement d’inspiration gnostique introduit en France au XIIe siècle, exaltera à nouveau vers
1176 la dignité spirituelle de la femme sous l’influence de l’ordre du Temple[12] et de Nicétas
pape des hérétiques de Constantinople. La suprématie du féminin, dans
les sectes des premiers siècles de l’ère chrétienne, est essentiellement une
résurgence des cultes de Cybèle et d’Adonis célébrés par les femmes dans
l’antiquité. On peut y voir aussi l’icône de Marie-Madeleine qui selon les
évangiles gnostiques serait à considérer comme un apôtre, si elle ne fut la
compagne, de Jésus. Quoi qu’il en soit, dans les deux cas on observe le rapport
évident au culte de la Terre Mère, la Matrice, le premier ayant été substitué
au second. Condamnant quiconque contractait un second
mariage, les dogmes montanismes n’interdisaient pas le mariage des prêtres[13]. La plupart des
érudits l’ayant étudié ne paraissaient pas se douter que la secte ait pu
évoluer. Elle avait pourtant conservé des adeptes enthousiastes pendant
plusieurs siècles, depuis le temps des derniers Antonins[14] jusqu’au début du Moyen Age[15] et l’apogée de l’ordre de
Fidèles d’Amour d’Occident. Des auteurs se sont perdus en conjectures
faisant de Montanus l’auteur de livres sibyllins, voire même un magicien. Les documents
historiques montanistes en latin, grec et syriaque subsistant montrent combien
les esprits du début du premier millénaire se passionnèrent pour le nouvel
évangile de Montanus, appelé Nouvelle Prophétie, provenant non plus des
montagnes de Judée mais de celles de Phrygie, prêché non par Jésus et ses
apôtres mais par les partisans de la secte frisant l’aliénation. Dans l’Eglise primitive,
il y a toujours eu des prêtres extatiques, illuminés, surtout pendant les
périodes de grande ferveur ou de persécution. Tertullien avait parfaitement
décrit les délires de glossolalie que pratiquaient les prophétesses Maximille et Priscilla. Les
montanistes exploitèrent ce phénomène d’une façon extraordinaire, en outrepassant
la fréquence et la portée de l’acte. Ces extases extravagantes avaient un
but : amener le prophète et les fidèles au stade suprême de
l’illumination, là où tout n’est qu’énergie pure. Ils ne pouvaient pas manquer
de frapper les esprits. Inspirant à la fois une certaine sympathie par la
rigueur de leurs rites ou le ridicule pour le caractère insolite de ces
extases, le montanisme prônait un détachement transcendental
pour tout ce qui touche à la partie inférieure des émotions humaines et à la
matérialité. Sous bien des aspects, les conceptions religieuses montanistes se
mêlent aux revendications des camisards du XVIIe
siècle ou à la rigidité du jansénisme prêchée par Nicolas Pavillon[16]. Les évêques catholiques les
plus orthodoxes avaient compris ce danger immense dans leur concile d’Antioche
(264-267). Ils s’étaient hâtés de censurer l’orgueil de Montanus en proférant
des paroles pleines d’anathèmes. Les montanistes
tombèrent vite sous le coup de l’hérésie. Toutefois, l’Eglise ne traita pas
leurs écrits comme elle aurait pu le faire pour d’autres hérétiques et
certains de leurs manuscrits restèrent cachés dans les monastères égyptiens. On
peut ainsi affirmer que les écrits montanistes ont servi à la composition du
CODEX BEZAE au Ve siècle, en
particulier les textes grecs considérés comme le plus ancien des évangiles apocryphes,
non canonique, existant[17].
Les
VALENTIENIENS sont d’autres sectaires d’inspiration
gnostique dont les écrits sont à la base du Codex Bezae.
S’il faut en croire ses fidèles, Valentin leur chef, né à Phrébon
en Egypte au IIe siècle, avait recueilli
les paroles de Théobas disciple de l’apôtre Paul,
leur assurant, d’un côté, la pérennité de la tradition ecclésiastique et, de
l’autre, les prétentions données à leur système comme une doctrine secrète,
ésotérique qui avait été répandue par les apôtres[18].
Jésus, estimait-il, n’avait pas enseigné la parole de Dieu à la multitude exotériquement mais sous forme de paraboles. C’est un fait. On en trouve des preuves dans le Nouveau Testament, des
textes canoniques, principalement dans le chapitre 8 de l’évangile de Luc et la
parabole du semeur : 8:8 - Une autre partie tomba dans la bonne terre:
quand elle fut levée, elle donna du fruit au centuple. Après avoir ainsi parlé,
Jésus dit à haute voix : « Que celui qui a des oreilles pour entendre
entende ! ». 8:9 - Ses
disciples lui demandèrent ce que signifiait cette parabole. 8:10 - Il répondit: « Il vous a été donné
de connaître les mystères du royaume de Dieu; mais pour les autres, cela leur
est dit en paraboles, afin qu'en voyant ils ne voient pas, et qu'en entendant
ils ne comprennent pas ». Ces paroles sonnent
clairement à nos oreilles. Néanmoins la lecture ésotérique des évangiles voulue
par les Valentiniens ne convainc pas le clergé et ils se firent excommunier
pour hérésie. Ce système domina profondément la pensée Valentinienne. Valentin
propagea d’abord son enseignement en Egypte puis à Rome et Chypre non seulement
oralement mais aussi par écrit. On cite de lui des lettres, des homélies, des
traités, des psaumes dont il reste quelques fragments. On le dit auteur de l’Evangile
de la vérité faisant partie des textes gnostiques découverts à Nag-Hammadi. Sa vision de Dieu, le père primitif, peut être
associée à la doctrine des Pythagoriciens et sa croyance en la
métempsycose le rend proche des Platoniciens. Tertullien reprochait à la
secte d’avoir dérobé leurs cérémonies aux mystères d’Eleusis. Il est également
certain que les Valentiniens (et sa branche Marcioniste)
faisaient grand usage de l’astrologie, de la guématrie
et de la magie : un de leurs médecins Sérenus
Sammonicus prescrivait, sans rire, l’incantation écrite
abracadabra[19] pour la guérison
des malades. L’hérésiarque Basilide fut l’inventeur de leur abrasax
(ou abraxas) : signe de reconnaissance entre les sectes ou amulette, vestige
du paganisme, aux vertus prétendues magiques. Les astrologues attribuaient à
chaque signe du zodiaque 30 étoiles ou parties. Ce nombre 30 était également
sacré pour les Valentiniens. Détail tout à fait significatif dans le codage du
Codex Bezae et du petit parchemin puisque ce sont les
30 premières ligne du folio 186 qui nous
intéressent : les lignes 9, 21 et 30 pour mémoire. Chez les ARIENS (ou Arianistes),
disciples d’Arius, il y avait un recueil de chant appelé singulièrement Thalie.
Ce nom païen montrait comment l’ancienne religion ressurgissait, au moins dans
le langage, sur le terrain de la propagande chrétienne à chaque fois qu’il
s’agissait de poésie. Ces chants populaires répandaient les opinions
théologiques d’Arius et font penser aux chants d’église du calvinisme[20]
français, mis sur des airs à la mode à la cour de François Ier.
Déclarés hérétiques au concile de Nicée, les livres Ariens furent brûlés. Nous
avons maintenant de bonnes raisons de croire que quelques ouvrages échappèrent
au brasier. Les actes des sectes
hérétiques nous sont connus parce que les pères de l’Eglise catholique les ont
abondamment commentés. La tradition concèdera le mérite, à saint Irénée,
d’avoir rapporté les textes du Codex à Lyon. Déclaré hérétique par l’Eglise chrétienne
du IIIe siècle, la secte
montaniste, soutenue par le saint lyonnais, avait pu subsister secrètement en
conservant presque tous ses écrits[21].
Par contre Irénée était très critique à l’égard des Valentiniens qui laissaient
libre cours à leur doctrine ésotérique et à leurs instincts sexuels incestueux.
Une partie de cette croyance fut donc retrouvée en 1945 à Nag-Hammadi.
Mais avant d’être soustraits à la destruction par la dissimulation au IV ou Ve siècle, les partisans de Valentin avaient pu
en extraire l’essentiel. Il y a fort à parier que les premiers rédacteurs du
Codex Bezae grec furent des partisans égyptiens, sans être des adeptes, des sectes hérétiques.
Nous pensons aux Jacobites qui étaient des coptes, ces chrétiens d’Egypte
considérés en diverses occasions comme hérétiques. Les évangiles gnostiques de Nag-Hammadi ont été d’ailleurs rédigés en langue copte. Après avoir compilé
en grec les pensées de Montanus, de Valentin, d’Arius et de quelques autres, on
en fit une traduction corrompue, pour être acceptable, en latin au cours du VIe siècle. Ce manuscrit qui devait devenir le
Codex Bezae passa par l'atelier de calligraphie Florus qui
exerçait à Lyon au IXe siècle. Quelques
pages du manuscrit devaient y être réécrites. Les annotations dispensées sur différents
feuillets du manuscrit grec sont une preuve complémentaire, non seulement de
son ancienneté, de l’implication des sectes hérétiques mais aussi de l’intérêt
primordial porté par les nombreux érudits du XVIIIe
l’ayant étudié. Les leçons du Codex Bezae sont si particulières qu’elles n’ont jamais réussi à
mettre d’accord les exégètes pour la
bonne raison que le texte est en partie crypté : Sortes Sanctorum[22], se traduisant généralement
par la
réponse des oracles sacrés.
Même Th. de Bèze, calviniste de la première heure, avait renoncé à l’exploiter.
Le contraire aurait été légitime. Alors doit-on se satisfaire des motivations
d’un hérétique récusant un manuscrit né des saintes écritures hérétiques, ou
avait-il compris de quoi il retournait exactement ? Les manuscrits et les
doctrines des hérétiques ne nous ont pas encore révélés tous leurs secrets. Le
Codex Bezae non plus !
© Thierry Garnier – 27 octobre 2007 -
M2G éditions. Reproduction interdite sans autoriqation de l'auteur Remerciements particuliers
à : A-M Lecordier, C. F. Jackson et
Jauclin pour sa communication du lien de l’ouvrage de
J. Rendel Harris[21]. [1] On sait aussi
qu’il en offrit un exemplaire à l’université d’Oxford, cf. copie de la lettre
jointe. [2] Courriers
électroniques des 28 et 29 novembre 2006, évoqués sur la radio, dans l'émission "Plus près des Etoiles", de J.C. Carton sur Ici & Maintenant en mars 2007. Voir aussi, La Montagne Sacrée, par R. Andrews et P. Schellenberger, 1997, p.145, pour le don à Oxford. [3] Bulletin de la
Société d’Etudes Scientifiques de l’Aude, 1935, T.XXXIX, p.LIII (document en accès public). [4] The Privileges of the
University of Cambridge together with additional observation, vol.1, par George
Dyer, imp. Logman & Co, Londre 1824, p.604 et suivantes. [5]Op.Cit, p.605. [6] Op.Cit, p.607 [7] Égypte, depuis
la conquête des Arabes jusqu'à la domination française, par Jean-Joseph,
Marcel, Amédée Ryme, Prisse d'Avennes, éd. Firmin-Didot frères, 1848, p.38. [8] Histoire de la
destruction du paganisme en occident T.II, par Auguste Beugnot, éd.
Firmin-Didot, 1825, p.267. [9] Recherches
critiques et historiques sur la langue et la littérature de l'Egypte, par
Etienne Marc Quatremère, imp. Impériale, 1808, p.141. [10] Trevett,
Montanism, Oxford 1996. [11] Les évangiles
gnostiques ont été écrits en langage copte sur des papyrus aux alentours du IIe
siècle. [12] Mémoires des
deux cités, TII, Th. Garnier, Ed. M2G, 2005, p.264. [13] Revue des
questions historiques, 1902, p.81. [14] Cf, Empereurs
Romains. [15] Journal des
savants, Paul Monceaux, p.509, 1915; article critique sur « la crise
montaniste » de P. de Labriolle, Paris Ernest Leroux, 1913. [16] Les Antonins,
par François Joseph Nompère de Champigny, T.III, éd. A. Bray, Paris, 1863, p.174. [17] The Privileges of the University of
Cambridge..., p.608 [18] Histoire de la
Philosophie,T.I, par Heinrich Ritter,lib.
Philosophique de Ladrange, 1844, p.174 et suivantes. [19] L’esprit de
l’Encyclopédie..., T.XIII, par Rémi Olivier, lib. Gilbert et Cie, Paris, 1808,
p.442. [20] Histoire
littéraire de la France avant le douzième siècle,T.I,
par Jean-Jacques Ampère, éd. Hachette, Leipzig, 1839, p.323 [21] Revue
d’histoire et de littérature religieuse, 1915, p.494. [22] Codex Bezae : a study of the
so-called Western text of the New Testament , par J. Rendel Harris, 1891, p.21
et suivantes. À lire ici: http://www.archive.org/details/codexbezae00harruoft. Merci à Jauclin d'avoir signalé ce lien.
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