Résurgence Atlante
Migration choisie de l’Afrique du Nord aux contreforts Pyrénéens

 

Atlantide
Carte extraite de "Essais sur les isles fortunées et l'Atlantique Atlantide", par M. Bory de Saint-Vincent - 1803

L’Atlantide n’est pas un mythe au sens propre. Les anciens historiens étaient sans doute plus près de la réalité que nos rationalistes patentés d’aujourd’hui. A côté de relations purement fabuleuses, il y a des narrations venues de l’Antiquité contenant un fond d’authenticité caché sous quelques fables. Tenaient-elles du roman ou du témoignage vraiment historique ?

Les récits de Diodore de Sicile sur une île fortunée située dans l'Océan, à l'ouest de l'Afrique appartiennent à la catégorie historique. D’autres légendes, sorties d'un livre sur les Traditions merveilleuses indûment attribué à Aristote, répètent avec quelques différences le récit de Diodore. Pline y mentionne une île Atlantide, Ptolémée nous parle d’une île inaccessible, enfin le célèbre Timée de Platon relate les évènements connus de tous les spécialistes.

Cela prouve jusqu'à l'évidence que les anciens soupçonnaient l'existence d'un autre continent au delà de l'Océan. Aristote va jusqu'à émettre l’hypothèse d’un autre monde plus étendu que celui connu des Grecs. Diodore nous fait connaître les précautions prises par les Carthaginois pour cacher aux autres peuples leurs découvertes géographiques[1].

 

Récentes découvertes.

 

En 1997, des ruines de temples datant de 12 000 ans ont été trouvées près de Bimini, Bahamas. Une analyse préliminaire a révélé que les structures originales, bien que de plus petites dimensions que celles de la Grande Pyramide de Gizeh, semblent avoir été plus importantes. Les blocs de pierre ont été mesurés et sont du même angle unique que ceux de la Grande Pyramide[2]. Ils viennent s’ajouter aux célèbres vestiges « routiers » sous-marins.

La relation Egypte-Atlantide se confirme par le témoignage du platonicien Crantor présentant des hiéroglyphes gravés sur des colonnes dans un temple d’Egypte[3]. Les prêtres de Saïs lui avaient montré des stèles couvertes d’inscriptions où cette histoire prodigieuse avait été consignée[4]. Le message gravé à l’attention d’Isis, rapporté par Plutarque : « Je suis ce qui a été, ce qui est, ce qui sera, et nul mortel n’a levé mon voile», résume à lui seul la situation. Les cercles maçonniques, d’hier et d’aujourd’hui, en connaissent la valeur[5].

 

Les ruines mégalithiques de Bimini montrent une ressemblance remarquable avec des sites antiques en Egypte. On a également trouvé ce que l'on nomme des "marques de carrière", comme celles trouvées dans les carrières d'Aswan et aussi sur la Grande Pyramide elle-même et, qui semblent être des pièces identiques à celles que l'on a trouvées sur les rochers du temple de Bimini. C’est une autre caractéristique, identique à celles des sites mégalithiques du Pérou, du Yucatan, d'Irlande et de Scandinavie.

Les rochers attirent déjà l'attention internationale et les recherches agressives et les projets d'analyse sont montés, espérant commencer des enquêtes très approfondies bientôt. L'analyse de ces énigmatiques temples antiques construits près de Bimini il y a 12 000 ans commence seulement. 

Bien que beaucoup de cartes du royaume céleste ornent les murs de plusieurs de ces mystérieux temples de Bimini, il y a un manque presque complet d'autres marquages. Du peu de glyphes qui existent, de toute manière, plusieurs ressemblent à ceux trouvés dans la célèbre Caverne d'Altamira en Espagne qui contient le célèbre tableau du bison. En plus, il y a les trajectoires orbitales exactes des planètes et ce qui semble être d'étranges couloirs entre les étoiles, des murs couverts de métal, et des rochers de plusieurs couleurs entremêlées.

L'Egyptology Society, qui dit être affiliée avec le miami museum of science a organisé plusieurs réunions sur ce thème au musée pour produire les preuves au public. Le plus curieux est le silence de mort des médias. Rien n’a pu filtrer dans le grand public. La première réunion, présentant les premières images et bandes vidéo publiques, a eu lieu le 25 juillet 1997.

L'interview suivante d'Aaron Du Val (ADV), Président de l'Egyptology Society a été conduite par James Gregory (JG), rédacteur en chef du NHNE News Brief le 16 juillet 1997:

 

JG : Où sont exactement les ruines et qui les a découvertes ?

 

ADV : Ni les découvreurs ni l'emplacement n'ont été encore dévoilés. Il est possible que ces informations soient annoncées à la réunion du 25 juillet. Avec optimisme, nous contactons les musées et le gouvernement en ce moment pour que le site soit protégé.

 

JG : Est-ce que les ruines sont immergées ?

 

ADV : Quelques unes d'entre elles sont sous l'eau et quelques unes sont sous le sable sous l'eau.

 

JG : Quelles dimensions ont les structures ?

 

ADV : Au total, elles ne sont pas aussi grandes que les pyramides de Gizeh, mais quelques rochers sont extrêmement grands.

 

JG : Est-ce que les rochers sont en place, ou sont-ils éparpillés ?

 

ADV : Ils ne sont pas dans leur formation originale.

 

JG : Quel genre de réponse avez-vous obtenu de votre annonce ?

 

Vues de la maison des Atrides à Mycènes (à gauche) et de l'arc de Las Monjas à Palenque au Mexique (à droite) dont Donnelly, un spécialiste de la question, se servit dans son livre pour illustrer la ressemblance entre les formes des voûtes des édifices des deux continents (Européen et Américain). On notera également l'étrange similitude entre le monument de Palenque et les structures intérieures, des couloirs, des pyramides d'Egypte.

ADV : Nous obtenons des appels de gens partout dans le monde. Une chose est que nous sommes en quelque sorte surpris du nombre de personnes qui sont inflexiblement contre tous les liens entre ce site et l'Egypte. Ils le rejettent simplement. Nous avons eu des gens appelant le miami museum of science pour seulement piquer une colère et qui ne savent pas par où commencer à attaquer. Ils finissent par se plaindre de la ponctuation de notre parution. Atlantide est un sujet assez susceptible. Peut-être ce sera la déclic qui amènera plus de gens à explorer plus en avant des idées qui ont été taboues dans le passé. Les structures mégalithiques ne sont pas supposées être aux Bahamas. Ceux-ci sont plus proches de ce que vous trouvez à Gizeh que de celles que vous trouveriez au Mexique ou au Pérou, ce qui est quand même étrange. Les gens disent des choses incroyables comme que cela pourrait forcer la réinterprétation du cours de l'histoire humaine.

 

JG : Est-ce que les marques de carrière pourraient amener à croire que ces rochers viennent des mêmes carrières que celles des monuments de Gizeh ?

 

ADV : Non. Ils ont seulement utilisé les mêmes marquages. Il y a beaucoup de théories différentes sur comment elles ont été faites, peut-être par des foreuses soniques ou versées comme un liquide et puis durcies.

 

JG : Edgar Cayce a prédit que cette sorte de chose serait découverte.

 

ADV : Cette découverte est en parfait accord avec ses prédictions. Maintenant nous ne disons pas que c'est Atlantide, mais il est évidement étrange que ces découvertes collent non seulement avec les prédictions de Cayce mais également avec les écritures de Platon, y compris au niveau des murs couverts de métal.

 

Edgar Cayce, médium, voyant est peut-être le guérisseur psychique le plus réputé de son temps. Il révéla des choses passionnantes à propos du continent disparu et prédit son retour à la surface en 1968. Si aucune terre ne sortit des mers à cette époque, on aperçut vu d'avion sur les hauts-fonds des Bahamas des sortes de constructions en ruines. L'exploration marine permis dés cette date de trouver des formations pierreuses formant des routes pavées et des murs cyclopéens.

Edgar Cayce, un visionnaire.

 

Peu connu de la plupart de nos contemporains, Edgar Cayce ne l’est pourtant pas pour ceux qui sillonnent le monde du paranormal. Cet homme hors du commun est un des rares médiums américains qui, sans se regarder le nombril, a fait quelques révélations de premier plan. Il a laissé derrière lui une œuvre immense.

Les "voyances" d’E. Cayce sont très particulières, car d’une part il ne déterminait pas ses transes médiumniques comme des voyances, mais comme des "lectures". D’autre part ces transes s’apparentaient pratiquement à un sommeil hypnotique.

E. Cayce n’était pas un homme d’une grande culture. Il n’y entendait rien en histoire ou en archéologie. Ses connaissances se limitaient à la religion et à une culture générale partagée par les populations du Middle West américain des années 30. Mort un peu avant la fin de la seconde guerre mondiale, il nous a néanmoins légué une somme d’informations considérables sur les sociétés futures, l’économie, la médecine (surtout parallèle), les religions, la réincarnation, l’archéologie mystérieuse ou encore l’Egypte antédiluvienne. Ainsi ses lectures deviennent une fantastique série de révélations au sujet de l’Atlantide et du continent mythique de Mû.

Ces lectures, pour beaucoup, peuvent être considérées comme des prophéties puisqu’il avait prédit la résurgence du continent disparu d’Atlantide. Et comme nous le voyons, les preuves remontent à la surface aujourd’hui du côté de Bimini.

Il a nous livré également des révélations stupéfiantes sur la découverte de salles secrètes sur le plateau de Gizeh, à proximité du Sphinx[6]. Or aujourd’hui ces salles ont été découvertes. Vidées de leur contenu avant d’être montrées au public, elles n’ont fait l’objet d’aucune grande enquête. L’information n’a d’ailleurs pas fait les gros titres des journaux. C’est le black-out total.

Nous avons compris depuis longtemps que la version des égyptologues officiels sur la naissance de cette civilisation ne variera jamais d’un iota, quelles que soient les « preuves Atlantes » mises en avant.

 

Des Corbières dans les Pyrénées

 

Parmi les lectures d’E. Cayce, celle relatant l’exode atlante dans les Pyrénées[7] est sans doute la plus singulière compte tenu de nos recherches conduites actuellement. Les archives de ce périple étaient préservées dans les salles enfouies au pied du Sphinx. On comprendra donc le mutisme des autorités compétentes.

L’opinion du médium, quoique subjective, se voit renforcée par un avis de poids émanant d’un universitaire Montpelliérain, M. le Capitaine Louis. Dans un discours tenu devant les membres de l’Ecole antique de Nîmes en 1933, il déclara : « Mesdames, Messieurs, je n’aurai garde de prendre partie de l’existence et de la disparition de l’Atlantide, question brûlante s’il en fut, et pour laquelle on a rompu bien des lances, mais l’existence de cette légende peut être retenue comme un témoignage en faveur de la très grande ancienneté des Ibères »[8].

E. Cayce, à l’instar d’une majorité d’auteurs, situait le continent perdu dans l’Atlantique. Certains se sont perdus en conjectures, situant l’île soit dans les fjords Scandinaves, soit en Méditerranée, soit dans le Sahara, voire en Mer Noire. Alexandre Moreau de Jonnes[9] avait ainsi fait une corrélation entre la destruction du mythique Royaume d’Asgard et la disparition de l’Atlantide, situant le continent perdu dans la région du Pont-Euxin (Mer Noire) et de l’archipel des îles Méotide. Théorie qui n’est pas sans intérêt dans l’histoire. Du reste, le cycle de datation ne coïncide pas.

D’après l’ensemble de ces récits majeurs, l’Atlantide s’étendrait d’Est en Ouest, de l’archipel des Açores jusqu’aux Bahamas et du Nord au Sud, des Açores aux îles du Cap Vert, en face des côtes Mauritaniennes actuelles. La Mauritanie semble d’ailleurs avoir éveillé une curiosité certaine chez un prêtre, que nous commençons à bien connaître, à savoir l’abbé Henri Boudet, curé de Rennes-les-Bains. Dans sa Vraie Langue Celtique, il n’hésita pas à légitimer l’existence de l’Atlantide en se fondant sur la mythologie : « Hercule avait promis à Eurysthée, roi de Mycènes, de lui apporter les pommes d'or du jardin des Hespérides. Il se transporta dans la Mauritanie, au milieu des Atlantides, tua le dragon et, s'emparant des pommes d'or, il revint triomphant les offrir à Eurysthée» [10].

Incidemment, Henri Boudet nous renvoie aux écrits de l’historien romain Salluste. Celui-ci fera mourir Hercule en Espagne[11] après être passé par l’Afrique. Notons que la Mauritanie de Salluste n’est pas celle d’aujourd’hui. Dans l’Antiquité, on appelait Mauritanie le pays de la côte Ouest Africaine, remontant jusqu’aux Colonnes d’Hercule (détroit de Gibraltar).

Pour Salluste, les peuples de l’Afrique du Nord, les Libyens, les Numides, les Gétules (ou Gaetules chez Boudet), les Gètes sont des Goths, Ases venus d’Asie Centrale. Les mêmes que l’on voit coloniser d’abord tout le nord du bassin méditerranéen, fondant Troie la seconde Asgard entre autres, puis migrer vers le nord de l’Europe. Et H. Boudet d’ajouter : « Les Atlantides, Libyes et Gaetules ont vécu avec les conquérants et sont devenus les Maures et les puissants Numides dont la cavalerie était si redoutée des Romains »[12]



Carte extraite de l'Histoire de la république Romaine de Salluste, T.1, par Charles de Brosses - 1777


Au livre 17 de sa géographie Strabon parle des Atlantes, peuple de Libye. A partir du XIIe siècle l’Egypte pharaonique fut envahie par ce voisin belliqueux. Certains de ces Libyens demeurèrent en Égypte, mercenaires à la solde de la XXIe dynastie. Les deux dynasties suivantes, à partir de 945 av. J.-C., furent libyennes. La relation Atlante/Egypte est donc très significative. Plus tard la Tripolitaine fut occupée par les Phéniciens et les Carthaginois, alors que le Cyrénaïque fut colonisé au VIIe siècle av.  J.-C. par les Grecs jusqu'à l’avènement des Ptolémées d’Egypte qui en eurent la tutelle ensuite.

Manuscrit Delmas
Extrait du manuscrit de l'abbé P. Delmas - 1709

Les Atlantes auraient non seulement colonisé cette partie de l’Afrique après les Goths (ou Ases) jusqu’à l’Ethiopie, mais aussi la péninsule ibérique. En migrant dans la chaîne Pyrénéenne, ils ont laissé les meilleures traces de leur passage au Pays Basque. Toutefois, si l’abbé Boudet met tant d’instance à nous parler de ses Atlantides dans sa monographie sur le dialecte languedocien, il va s’en dire que les Corbières, contreforts des Pyrénées, ne sont pas exempts de quelque empreinte Atlante. Les Bains de Rennes sont réputés non seulement pour les bienfaits de leurs eaux mais aussi pour les grandes quantités de monnaies celtiberiennes[13] disséminées sur son territoire. Dans son manuscrit, l'abbé Delmas l'affirme clairement. Outre les Ibères, les Celtes ont aussi été classés parmi les Atlantes[14].

 

Archives Atlantéennes.

 

Dès lors, la voie est toute tracée pour poursuivre notre hypothèse de travail dans laquelle un manuscrit révélant des secrets antiques se place en bonne position. Ce manuscrit, c’est le Codex Bezae qui détient la clé ouvrant la Porte d’un Temple caché dans les environs de Rennes-les-Bains. Et qui sait ! l’arkae dei, Arche de Dieu (ou des dieux) décryptée au travers des parchemins de l’abbé Saunière, présumée Arche d’Alliance, monument de la nation hébraïque, serait en réalité une relique Atlante conservée par les Egyptiens, copiée par les hébreux. Surprenantes affirmations n’est-ce pas ? En voici l’explication.

Moïse, élevé à la cour du pharaon d’Egypte, fut initié aux mystères sacrés. De bonne heure, il passa en Ethiopie où il connut la tradition primitive des Atlantes sur l’Unité divine. Il y retrouva une partie des peuples arabes issus de celtes bodohnes (ou nomades) chaldéens, des sémites autrement appelés Hébreux[15], chassés par d’autres sémites, les phéniciens.

Chez les celtes, Aedon était le nom d’un prêtre de HU, seigneur de la terre et des mers, sous la domination duquel vivaient les ancêtres des gaëls, galates ou keltes en grec, lorsqu’ils habitaient le nord de la Chaldée. Ce druide pontife avait la garde d’une arche sainte qui arriva chez les égyptiens avant d’être placée entre les mains du peuple juif.

Le coffre sacré ne fut peut-être pas construit pendant l’Exode, tel que le raconte la Bible, ou bien l’Arche d’Alliance ne fut-elle qu’une réplique du coffre de Hu. Peut-être est-ce de là que viendrait l’appellation de peuple el-hu devenu, usant du langage des oiseaux, en français oblige : elu. Ce qui ferait des hébreux non pas le peuple Elu, mais le peuple d’El-Hu, c'est-à-dire d’Adonaï[16].

Petit parchemin
Petit manuscrit ou copie d'un extrait du Codex Bezae (ci-dessous) rédigé par Bérenger Saunière
Extrait du Codex Bezae - Luc

A une époque où les textes de l’Ancien Testament sont remis en cause scientifiquement, il convient de revoir chaque chronique. Notre enquête menée depuis quelques années met ainsi en évidence que l’Arche d’Alliance n’a pas été perdue pour tout le monde. Mais qu’est-ce que l’Arche d’Alliance finalement ? Ce nom, attribué par le peuple d’Adonaï, n’est-il que le reflet de leur première alliance avec Dieu ?

Le Codex Bezae, manuscrit des bibliomanciens aux époques ténébreuses, recèle les réponses à ces questions. L’énigme des archives Atlantes rejoint celle de Bérenger Saunière, initié de haut vol à l’instar d’H. Boudet. L’idée a été émise il y a longtemps, mais fallait-il avoir quelques documents pour justifier de telles assertions et en faire la synthèse afin de ne pas verser dans le prosélytisme.

Le second décodage des parchemins de Bérenger Saunière n’est toujours pas d’actualité. Toutefois, nous ne craignons pas de présenter le Codex Bezae comme un manifeste contenant les clés des archives Atlantes ou plus largement des civilisations antédiluviennes.

Rédigé au Ve siècle en Asie Mineure, le Codex Bezae contient un fond hérétique datant du IIe siècle venu d’Egypte, voire d’Ethiopie. Les origines coptes d’une partie du secret ont été mises en exergue dans nos précédents articles. On sait aussi que l’Arche Alliance est passée en Ethiopie sous le règne de la reine de Sabah. Beaucoup de points se recoupent en se sens, sans traceur géométrique particulier : des faits, uniquement des faits.

Toutes les précautions ont été prises pour la sauvegarde de ces informations. Il existe, en effet, un bon nombre de paramètres à aligner avant d’ôter le cran de sûreté et d’ouvrir la dernière Porte. De sorte (sanctorum) que l’on n’est pas prêts de la faire sauter, même à la dynamite.

 




Thierry Garnier

- Remerciements particuliers à A.M Lecordier

  • Première parution en 1997(CNRU)
  • Revu et augmenté le 7 mars 2008 - Toutes reproductions totales ou partielles interdites sans autorisation de l'auteur. www.lemercuredegaillon.fr



  • [1] Histoire du roman et de ses rapports avec l'Histoire dans l'Antiquité, par Alexis Chassang, Lib. Acad. Didier et Cie, Paris, 1862.

    [2] Aaron Du Val, Président, Egyptology Society, Miami, Florida Press Parution, 06.07.97; interview personnelle, 16.07.97.

    [3] Op.cit, A. Chassang.

    [4] Dissertation sur l’Atlantide, par l’abbé Emile Jolibois, imp. L. Boitel, Lyons, 1846.

    [6] L’Univers d’Edgar Cayce, par D. Koechlin de Bizemont, éd. R. Laffont, 1989.

    [7] Lec. 378-14

    [8] Ecole antique de Nîmes, Conférences et Excursions, session de 1931, 1932 et 1933. Tiré à part « les populations du Languedoc méditerranéen aux époques protohistorique».

    [9] Ethnogénie caucasienne, par A.-C. Moreau de Jonnes, éd. J. Cherbukiez, Paris, 1861. Cf, OVNI de l’Eclipse, 11.08.1999, Th. Garnier, M2G Editions, 2007.

    [10] La Vraie Langue Celtique, le Cromlech de Rennes-les-Bains, par H. Boudet, éd. Pomiès, Carcassonne, 1886.

    [11] Salluste, Histoire de la république romaine, T.1, par Charles de Brosses, lib. L.N. Frantin, Dijon, 1777.

    [12] Op.Cit, V.L.C.

    [13] Mémoires et dissertations sur les antiquités nationales et étrangères, par Société des antiquaires de France, sur les travaux de la Société Royale des Antiquaires de France, lu à la séance publique du 2 juillet 1820, par M. Bottin.

    [14] Fragments ethnologiques, études sur les vestiges gaëliques..., par J.-A.-N. Perier, Lib. Victor Masson, 1857.

    [15] Histoire philosophique du genre humain T1, par A. Fabre d’Olivet, lib. J.-L.-J. Brières, 1824.