L’Atlantide
n’est pas un mythe au sens propre. Les anciens historiens étaient sans doute
plus près de la réalité que nos rationalistes patentés d’aujourd’hui. A côté de
relations purement fabuleuses, il y a des narrations venues de l’Antiquité
contenant un fond d’authenticité caché sous quelques fables. Tenaient-elles du
roman ou du témoignage vraiment historique ? Les
récits de Diodore de Sicile sur une île fortunée située dans l'Océan, à
l'ouest de l'Afrique appartiennent à la catégorie historique. D’autres légendes,
sorties d'un livre sur les Traditions merveilleuses indûment attribué à
Aristote, répètent avec quelques différences le récit de Diodore. Pline y
mentionne une île Atlantide, Ptolémée nous parle d’une île
inaccessible, enfin le célèbre Timée de Platon relate les évènements connus
de tous les spécialistes. Cela
prouve jusqu'à l'évidence que les anciens soupçonnaient l'existence d'un autre continent
au delà de l'Océan. Aristote va jusqu'à émettre l’hypothèse d’un autre monde
plus étendu que celui connu des Grecs. Diodore nous fait connaître les
précautions prises par les Carthaginois pour cacher aux autres peuples leurs
découvertes géographiques[1]. ![]() Récentes découvertes. En
1997, des ruines de temples datant de 12 000 ans ont été trouvées près de
Bimini, Bahamas. Une analyse préliminaire a révélé que les structures
originales, bien que de plus petites dimensions que celles de la Grande
Pyramide de Gizeh, semblent avoir été plus importantes. Les blocs de pierre ont
été mesurés et sont du même angle unique que ceux de la Grande Pyramide[2]. Ils
viennent s’ajouter aux célèbres vestiges « routiers » sous-marins. La
relation Egypte-Atlantide se confirme par le témoignage du platonicien Crantor présentant
des hiéroglyphes gravés sur des colonnes dans un temple d’Egypte[3]. Les
prêtres de Saïs lui avaient montré des stèles couvertes d’inscriptions où cette
histoire prodigieuse avait été consignée[4]. Le
message gravé à l’attention d’Isis, rapporté par Plutarque : « Je
suis ce qui a été, ce qui est, ce qui sera, et nul mortel n’a levé mon voile», résume
à lui seul la situation. Les cercles maçonniques, d’hier et d’aujourd’hui, en
connaissent la valeur[5].
Les
ruines mégalithiques de Bimini montrent une ressemblance remarquable avec des sites
antiques en Egypte. On a également trouvé ce que l'on nomme des "marques
de carrière", comme celles trouvées dans les carrières d'Aswan et aussi
sur la Grande Pyramide elle-même et, qui semblent être des pièces identiques à celles
que l'on a trouvées sur les rochers du temple de Bimini. C’est une autre
caractéristique, identique à celles des sites mégalithiques du Pérou, du Yucatan,
d'Irlande et de Scandinavie. Les
rochers attirent déjà l'attention internationale et les recherches agressives
et les projets d'analyse sont montés, espérant commencer des enquêtes très
approfondies bientôt. L'analyse de ces énigmatiques temples antiques construits
près de Bimini il y a 12 000 ans commence seulement. Bien
que beaucoup de cartes du royaume céleste ornent les murs de plusieurs de ces
mystérieux temples de Bimini, il y a un manque presque complet d'autres
marquages. Du peu de glyphes qui existent, de toute manière, plusieurs
ressemblent à ceux trouvés dans la célèbre Caverne d'Altamira en Espagne qui
contient le célèbre tableau du bison. En plus, il y a les trajectoires
orbitales exactes des planètes et ce qui semble être d'étranges couloirs entre
les étoiles, des murs couverts de métal, et des rochers de plusieurs couleurs
entremêlées. L'Egyptology
Society, qui dit être affiliée avec le miami
museum of science a organisé plusieurs réunions sur ce thème au musée
pour produire les preuves au public. Le plus curieux est le silence de mort des
médias. Rien n’a pu filtrer dans le grand public. La première réunion, présentant
les premières images et bandes vidéo publiques, a eu lieu le 25 juillet 1997. L'interview
suivante d'Aaron Du Val (ADV), Président de l'Egyptology Society a été conduite
par James Gregory (JG), rédacteur en chef du NHNE News Brief le 16 juillet 1997:
JG
: Où sont exactement les ruines et qui les a découvertes ? ADV
: Ni les découvreurs ni l'emplacement n'ont été encore dévoilés. Il est
possible que ces informations soient annoncées à la réunion du 25 juillet. Avec
optimisme, nous contactons les musées et le gouvernement en ce moment pour que
le site soit protégé. JG
: Est-ce que les ruines sont immergées ? ADV
: Quelques unes d'entre elles sont sous l'eau et quelques unes sont sous le
sable sous l'eau. JG
: Quelles dimensions ont les structures ? ADV
: Au total, elles ne sont pas aussi grandes que les pyramides de Gizeh, mais
quelques rochers sont extrêmement grands. JG
: Est-ce que les rochers sont en place, ou sont-ils éparpillés ? ADV
: Ils ne sont pas dans leur formation originale. JG
: Quel genre de réponse avez-vous obtenu de votre annonce ?
ADV
: Nous obtenons des appels de gens partout dans le monde. Une chose est que
nous sommes en quelque sorte surpris du nombre de personnes qui sont
inflexiblement contre tous les liens entre ce site et l'Egypte. Ils le
rejettent simplement. Nous avons eu des gens appelant le miami museum of science pour seulement
piquer une colère et qui ne savent pas par où commencer à attaquer. Ils
finissent par se plaindre de la ponctuation de notre parution. Atlantide est un
sujet assez susceptible. Peut-être ce sera la déclic qui amènera plus de gens à
explorer plus en avant des idées qui ont été taboues dans le passé. Les
structures mégalithiques ne sont pas supposées être aux Bahamas. Ceux-ci sont
plus proches de ce que vous trouvez à Gizeh que de celles que vous trouveriez
au Mexique ou au Pérou, ce qui est quand même étrange. Les gens disent des
choses incroyables comme que cela pourrait forcer la réinterprétation du cours
de l'histoire humaine. JG
: Est-ce que les marques de carrière pourraient amener à croire que ces rochers
viennent des mêmes carrières que celles des monuments de Gizeh ? ADV
: Non. Ils ont seulement utilisé les mêmes marquages. Il y a beaucoup de
théories différentes sur comment elles ont été faites, peut-être par des
foreuses soniques ou versées comme un liquide et puis durcies. JG
: Edgar Cayce a prédit que cette sorte de chose serait découverte. ADV
: Cette découverte est en parfait accord avec ses prédictions. Maintenant nous
ne disons pas que c'est Atlantide, mais il est évidement étrange que ces
découvertes collent non seulement avec les prédictions de Cayce mais également
avec les écritures de Platon, y compris au niveau des murs couverts de métal.
Edgar Cayce, un visionnaire. Peu
connu de la plupart de nos contemporains, Edgar Cayce ne l’est pourtant pas
pour ceux qui sillonnent le monde du paranormal. Cet homme hors du commun est
un des rares médiums américains qui, sans se regarder le nombril, a fait quelques
révélations de premier plan. Il a laissé derrière lui une œuvre immense. Les
"voyances" d’E. Cayce sont très particulières, car d’une part il ne
déterminait pas ses transes médiumniques comme des voyances, mais comme des
"lectures". D’autre part ces transes s’apparentaient pratiquement à
un sommeil hypnotique. E.
Cayce n’était pas un homme d’une grande culture. Il n’y entendait rien en
histoire ou en archéologie. Ses connaissances se limitaient à la religion et à
une culture générale partagée par les populations du Middle West américain des
années 30. Mort un peu avant la fin de la seconde guerre mondiale, il nous a
néanmoins légué une somme d’informations considérables sur les sociétés futures,
l’économie, la médecine (surtout parallèle), les religions, la réincarnation,
l’archéologie mystérieuse ou encore l’Egypte antédiluvienne. Ainsi ses lectures
deviennent une fantastique série de révélations au sujet de l’Atlantide et du
continent mythique de Mû. Ces
lectures, pour beaucoup, peuvent être considérées comme des prophéties
puisqu’il avait prédit la résurgence du continent disparu d’Atlantide. Et comme
nous le voyons, les preuves remontent à la surface aujourd’hui du côté de
Bimini. Il
a nous livré également des révélations stupéfiantes sur la découverte de salles
secrètes sur le plateau de Gizeh, à proximité du Sphinx[6]. Or
aujourd’hui ces salles ont été découvertes. Vidées de leur contenu avant d’être
montrées au public, elles n’ont fait l’objet d’aucune grande enquête.
L’information n’a d’ailleurs pas fait les gros titres des journaux. C’est le
black-out total. Nous
avons compris depuis longtemps que la version des égyptologues officiels sur la
naissance de cette civilisation ne variera jamais d’un iota, quelles que soient
les « preuves Atlantes » mises en avant. Des Corbières dans les Pyrénées Parmi
les lectures d’E. Cayce, celle relatant l’exode atlante
dans les Pyrénées[7] est sans doute la plus
singulière compte tenu de nos recherches conduites actuellement. Les archives
de ce périple étaient préservées dans les salles enfouies au pied du Sphinx. On
comprendra donc le mutisme des autorités compétentes. L’opinion
du médium, quoique subjective, se voit renforcée par un avis de poids émanant
d’un universitaire Montpelliérain, M. le Capitaine Louis. Dans un discours tenu
devant les membres de l’Ecole antique de Nîmes en 1933, il
déclara : « Mesdames, Messieurs, je n’aurai garde de prendre
partie de l’existence et de la disparition de l’Atlantide, question brûlante
s’il en fut, et pour laquelle on a rompu bien des lances, mais l’existence de
cette légende peut être retenue comme un témoignage en faveur de la très grande
ancienneté des Ibères »[8]. E.
Cayce, à l’instar d’une majorité d’auteurs, situait le continent perdu dans
l’Atlantique. Certains se sont perdus en conjectures, situant l’île soit dans
les fjords Scandinaves, soit en Méditerranée, soit dans le Sahara, voire en Mer
Noire. Alexandre Moreau de Jonnes[9] avait
ainsi fait une corrélation entre la destruction du mythique Royaume d’Asgard et
la disparition de l’Atlantide, situant le continent perdu dans la région du
Pont-Euxin (Mer Noire) et de l’archipel des îles Méotide. Théorie qui n’est pas
sans intérêt dans l’histoire. Du reste, le cycle de datation ne coïncide pas. D’après
l’ensemble de ces récits majeurs, l’Atlantide s’étendrait d’Est en Ouest, de
l’archipel des Açores jusqu’aux Bahamas et du Nord au Sud, des Açores aux îles
du Cap Vert, en face des côtes Mauritaniennes actuelles. La Mauritanie semble
d’ailleurs avoir éveillé une curiosité certaine chez un prêtre, que nous
commençons à bien connaître, à savoir l’abbé Henri Boudet, curé de Rennes-les-Bains.
Dans sa Vraie Langue Celtique, il n’hésita pas à légitimer l’existence
de l’Atlantide en se fondant sur la mythologie : « Hercule
avait promis à Eurysthée, roi de Mycènes, de lui apporter les pommes d'or du
jardin des Hespérides. Il se transporta dans la Mauritanie, au milieu des
Atlantides, tua le dragon et, s'emparant des pommes d'or, il revint triomphant
les offrir à Eurysthée» [10].
Incidemment,
Henri Boudet nous renvoie aux écrits de l’historien romain Salluste. Celui-ci fera
mourir Hercule en Espagne[11]
après être passé par l’Afrique. Notons que la Mauritanie de Salluste n’est pas
celle d’aujourd’hui. Dans l’Antiquité, on appelait Mauritanie le pays de la
côte Ouest Africaine, remontant jusqu’aux Colonnes d’Hercule (détroit de
Gibraltar). Pour
Salluste, les peuples de l’Afrique du Nord, les Libyens, les Numides, les
Gétules (ou Gaetules chez Boudet), les Gètes sont des Goths, Ases venus
d’Asie Centrale. Les mêmes que l’on voit coloniser d’abord tout le nord du
bassin méditerranéen, fondant Troie la seconde Asgard entre autres, puis migrer vers le nord de
l’Europe. Et H. Boudet d’ajouter : « Les Atlantides, Libyes et
Gaetules ont vécu avec les conquérants et sont devenus les Maures et les
puissants Numides dont la cavalerie était si redoutée des Romains »[12].
Au
livre 17 de sa géographie Strabon parle des Atlantes, peuple de Libye. A partir
du XIIe siècle l’Egypte pharaonique fut envahie par ce voisin
belliqueux. Certains de ces Libyens demeurèrent en
Égypte, mercenaires à la solde de la XXIe dynastie. Les deux dynasties suivantes, à partir de 945 av. J.-C.,
furent libyennes. La relation Atlante/Egypte est donc très significative. Plus
tard la Tripolitaine fut occupée par les Phéniciens et les Carthaginois, alors
que le Cyrénaïque fut colonisé au VIIe siècle av. J.-C. par les Grecs jusqu'à l’avènement des
Ptolémées d’Egypte qui en eurent la tutelle ensuite.
Les
Atlantes auraient non seulement colonisé cette partie de l’Afrique après les
Goths (ou Ases) jusqu’à l’Ethiopie, mais aussi la péninsule ibérique. En
migrant dans la chaîne Pyrénéenne, ils ont laissé les meilleures traces de leur
passage au Pays Basque. Toutefois, si l’abbé Boudet met tant d’instance à nous
parler de ses Atlantides dans sa monographie sur le dialecte
languedocien, il va s’en dire que les Corbières, contreforts des Pyrénées, ne
sont pas exempts de quelque empreinte Atlante. Les Bains de Rennes sont réputés non seulement pour les bienfaits de
leurs eaux mais aussi pour les grandes quantités de monnaies celtiberiennes[13] disséminées
sur son territoire. Dans son manuscrit, l'abbé Delmas l'affirme clairement. Outre les Ibères, les Celtes ont aussi été classés parmi
les Atlantes[14]. Archives Atlantéennes. Dès
lors, la voie est toute tracée pour poursuivre notre hypothèse de travail dans
laquelle un manuscrit révélant des secrets antiques se place en bonne position.
Ce manuscrit, c’est le Codex Bezae qui détient la clé ouvrant la Porte d’un
Temple caché dans les environs de Rennes-les-Bains. Et qui sait ! l’arkae dei, Arche de Dieu (ou des
dieux) décryptée au travers des parchemins de l’abbé Saunière, présumée Arche
d’Alliance, monument de la nation hébraïque, serait en réalité une relique
Atlante conservée par les Egyptiens, copiée par les hébreux. Surprenantes
affirmations n’est-ce pas ? En voici l’explication. Moïse,
élevé à la cour du pharaon d’Egypte, fut initié aux mystères sacrés. De bonne
heure, il passa en Ethiopie où il connut la tradition primitive des Atlantes
sur l’Unité divine. Il y retrouva une partie des peuples arabes issus de celtes
bodohnes (ou nomades) chaldéens, des sémites autrement
appelés Hébreux[15], chassés par d’autres
sémites, les phéniciens. Chez
les celtes, Aedon était le nom d’un prêtre de HU, seigneur de la terre
et des mers, sous la domination duquel vivaient les ancêtres des gaëls, galates
ou keltes en grec, lorsqu’ils habitaient le nord de la Chaldée. Ce druide
pontife avait la garde d’une arche
sainte qui arriva chez les égyptiens avant d’être placée entre les mains du
peuple juif. Le
coffre sacré ne fut peut-être pas construit pendant l’Exode, tel que le raconte
la Bible, ou bien l’Arche d’Alliance ne fut-elle qu’une réplique du coffre de
Hu. Peut-être est-ce de là que viendrait l’appellation de peuple el-hu devenu,
usant du langage des oiseaux, en français oblige : elu. Ce qui ferait des hébreux non pas
le peuple Elu, mais le peuple d’El-Hu, c'est-à-dire d’Adonaï[16].
A
une époque où les textes de l’Ancien Testament sont remis en cause
scientifiquement, il convient de revoir chaque chronique. Notre enquête menée
depuis quelques années met ainsi en évidence que l’Arche d’Alliance n’a pas été
perdue pour tout le monde. Mais qu’est-ce que l’Arche d’Alliance
finalement ? Ce nom, attribué par le peuple d’Adonaï, n’est-il que le
reflet de leur première alliance avec Dieu ? Le
Codex Bezae, manuscrit des bibliomanciens aux époques ténébreuses, recèle les
réponses à ces questions. L’énigme des archives Atlantes rejoint celle de Bérenger
Saunière, initié de haut vol à l’instar d’H. Boudet. L’idée a été émise il y a
longtemps, mais fallait-il avoir quelques documents pour justifier de telles
assertions et en faire la synthèse afin de ne pas verser dans le prosélytisme. Le
second décodage des parchemins de Bérenger Saunière n’est toujours pas
d’actualité. Toutefois, nous ne craignons pas de présenter le Codex Bezae comme
un manifeste contenant les clés des archives Atlantes ou plus largement des
civilisations antédiluviennes. Rédigé
au Ve siècle en Asie Mineure, le Codex Bezae contient un fond
hérétique datant du IIe siècle venu d’Egypte, voire d’Ethiopie. Les
origines coptes d’une partie du secret ont été mises en exergue dans nos
précédents articles. On sait aussi que l’Arche Alliance est passée en Ethiopie
sous le règne de la reine de Sabah. Beaucoup de points se recoupent en se sens,
sans traceur géométrique particulier : des faits, uniquement des faits. Toutes
les précautions ont été prises pour la sauvegarde de ces informations. Il
existe, en effet, un bon nombre de paramètres à aligner avant d’ôter le cran de
sûreté et d’ouvrir la dernière Porte. De sorte (sanctorum)
que l’on n’est pas prêts de la faire sauter, même à la
dynamite. Thierry Garnier [1] Histoire du
roman et de ses rapports avec l'Histoire dans l'Antiquité, par Alexis Chassang,
Lib. Acad. Didier et Cie, Paris, 1862. [2] Aaron Du Val,
Président, Egyptology Society, Miami, Florida Press Parution, 06.07.97;
interview personnelle, 16.07.97. [3] Op.cit, A.
Chassang. [4] Dissertation
sur l’Atlantide, par l’abbé Emile Jolibois, imp. L. Boitel, Lyons, 1846. [5] Cf, Le Mercure de Gaillon N°1, Chroniques Vulcaines : sur St Gervais St Protais de Gisors,
janvier 2008. [6] L’Univers d’Edgar Cayce, par D. Koechlin de Bizemont, éd. R.
Laffont, 1989. [7] Lec. 378-14 [8] Ecole antique
de Nîmes, Conférences et Excursions, session de 1931, 1932 et 1933. Tiré à part
« les populations du Languedoc méditerranéen aux époques protohistorique». [9] Ethnogénie
caucasienne, par A.-C. Moreau de Jonnes, éd. J. Cherbukiez, Paris, 1861. Cf, OVNI
de l’Eclipse, 11.08.1999, Th. Garnier, M2G Editions, 2007. [10] La Vraie
Langue Celtique, le Cromlech de Rennes-les-Bains, par H. Boudet, éd. Pomiès, Carcassonne, 1886. [11] Salluste, Histoire de la république romaine, T.1, par Charles de Brosses, lib. L.N. Frantin, Dijon, 1777. [12] Op.Cit, V.L.C.
[13] Mémoires et
dissertations sur les antiquités nationales et étrangères, par Société des
antiquaires de France, sur les travaux de la Société Royale des Antiquaires de
France, lu à la séance publique du 2 juillet 1820, par M. Bottin. [14] Fragments
ethnologiques, études sur les vestiges gaëliques..., par J.-A.-N. Perier, Lib.
Victor Masson, 1857. [15] Histoire
philosophique du genre humain T1, par A. Fabre d’Olivet, lib. J.-L.-J. Brières,
1824. |