L’association pirates / franc-maçons pourrait paraître saugrenue.
C’est ainsi que nous l’avons ressenti en retrouvant dans le livre de Robert
Charroux « Trésors du Monde » un document intitulé : Cryptogramme du
forban. La surprise était de taille. Il s’agissait d’un texte écrit dans un
alphabet apparenté à celui de la franc-maçonnerie par le pirate Olivier Le Vasseur dit La
Buse. Sans faire d’amalgame licencieux, l’issue de cette enquête nous amène à
une conclusion des plus déconcertantes. Antiquité Le mot pirate vient du grec « peirates » ou du
latin pirata qui signifie « celui qui essaie, qui tente la fortune et qui
attaque ». La franc-maçonnerie ayant un but humaniste, au-delà d'une quête purement trésoraire, la question était
donc de savoir quelles pouvaient être les collusions entre ces deux
« organisations » que, a priori, tout semble opposer ?
Opposition remarquée puisque l’alphabet des pirates, représenté par R.
Charroux, contient partiellement des inversions de l’alphabet maçonnique, dérivé du système d'encodage de Heinrich Cornelius Agrippa (cf. De occulta philosophia, Cologne, 1533, li. 3, ch. 30) mais aussi des caractères de l’alphabet secret Templier (ci-dessous).
Sur
toutes les mers du globe, depuis la plus haute antiquité, les pirates ont
déferlé telle une nuée de sauterelles. Il y a près de 5 000 ans, aux
balbutiements des échanges commerciaux maritimes, de hardis marins furent prêts
à risquer leur vie pour s’emparer des navires chargés des cargaisons de pierres
et de métaux précieux. Au XIIe av. J.-C, les Phéniciens,
explorateurs et colonisateurs, pratiquaient le commerce des esclaves et la
piraterie. Selon
les époques et les pays, le pirate prit le nom de boucanier ou de flibustier.
Dans ce nom de flibustier on peut trouver un début d’explication allusif à la
franc-maçonnerie. Flibustier viendrait de l’anglais free (franc ou
libre) et booter (pillard)[1].
On le fait également dériver du néerlandais vrijbueter signifiant
« celui qui prend librement son butin ». De l’autre côté,
l’appellation anglaise de franc-maçon est free-masson (ou maçon libre),
nom d’origine des tailleurs de pierre et architectes regroupés en confrérie dès
le Moyen Age dans toute l’Europe. Dès
l’Antiquité, la piraterie s’est organisée en société secrète à l’image de la
franc-maçonnerie moderne qui a observé dans certaines loges des rites d’une
origine tout aussi éloignée. Les
romains ne parvinrent jamais à détruire la piraterie. Le
profit que donnait la vente des prisonniers stimulait les forbans, tandis que
sur le « plancher des vaches » le pouvoir central fricotait avec des
mercenaires, organisés en confrérie, la Mafia d’aujourd’hui. La corruption des
gouvernements n’a jamais cessé. Dans
le dernier siècle de la République, la piraterie prit
une extension inouïe. Des causes politiques et sociales peuplèrent les mers de
pirates. Ils appartenaient à presque toutes les nations de l'Asie. C'était
comme une vengeance et une réaction de l'Orient, dévasté par les légions de
Rome et les marchands d'esclaves. Les forbans affectèrent un mépris insultant
pour les maîtres du monde, dont le nom seul les avait fait trembler jadis. En Afrique du Nord Au
Moyen Age, il existait des ordres de piraterie à l’instar des ordres de
chevalerie[2].
L’Ordre du Temple pratiquait la piraterie, en bons corsaires chrétiens, quand
le besoin s’en faisait sentir en Méditerranée contre les bâtiments mahométans
qui écumaient de la même manière la mer intérieure. ![]() Cette
situation perdura encore bien longtemps après la chute des Templiers. Le bassin
méditerranéen, berceau du commerce du Monde occidental, fut l’un des plus
anciens théâtres de la flibuste. Ce n’était qu’un vaste champ de bataille où
les califats nord- africains, faisaient régner la terreur, sur les mers par la
piraterie et sur les terres par des pillages incessant intertribaux.
L’esclavage était d’usage dans toute l’Afrique du Nord, et cela bien avant la colonisation par les
Européens. Alger
était le chef-lieu des pirates barbaresques au XIXe siècle. Quoi
qu’on en pense aujourd’hui, n’en déplaise aux pseudos intellectuels
ultra-médiatisés « bien passants », laxistes de surcroît et aux
medias eux-mêmes, distillant jour après jour un bouillon de culture frelaté
anti-français, anti-patriotique (oupss ! je viens de dire une grosse
insulte, « patriotisme français », voire même « bon
français », est une expression tabou de nos jours), la piraterie est bien
la motivation première de l’intervention française sur le continent africain[3]
en 1830. C’est principalement ce qui incita la France à passer à l’action sur
les côtes qui n’avaient d’autre nom que celui de Barbaresques ou Barbarie.
Tunisie, Lybie, Algérie et Maroc n’existaient pas à cette époque, mais la piraterie
y avait pris ses quartiers. Outre
ces actes de malveillance, l’intervention française est due à une suite
inattendue sur « une affaire commerciale et financière » à
laquelle se trouvait mêlé le dey Hussein. C’est ainsi que l’information est
diffusée dans quelques livres d’histoire. En 1827, pour ce « différent »
le dey s’en prit au consul français qu’il frappa. Le gouvernement de Charles X,
n’ayant pas obtenu d’excuses, riposta par le blocus d’Alger qui devait durer
trois ans. À la suite de la canonnade d’un vaisseau parlementaire, une
expédition militaire contre Alger fut décidée. Le 5 juin 1830, la ville était
prise : Alea jacta est… Les « Deys » en étaient
jetés ! L’affaire
« commerciale » n’est pas très claire. Elle est probablement liée à
une transaction de boucane comme le laissent supposer les explications du dey
d’Alger. Pour sa défense il déclara qu’il ne lui était pas possible de subvenir
aux dépenses de son gouvernement et à l'entretien de sa milice s'il n'avait eu
d'autres ressources que les revenus du pays. La piraterie était
donc une condition inévitable de son existence. Ainsi un trésor considérable
avait été amassé depuis trois siècles par ses prédécesseurs. Ce trésor, que la
renommée faisait monter à des sommes immenses, n'était plus que d'un peu moins
de 50 millions de francs or au moment de la prise d’Alger par les français. Une
investigation sévère prouva qu'il n'en avait été rien détourné et que le trésor
resta à Alger et aux Algérois. La
colonisation de l’Afrique du Nord n’est pas due donc à un besoin de gloire. Ce
n’était pas une guerre de conquête ou d’expansionnisme français. A l’inverse
aujourd’hui, l’immigration, clandestine ou non, est une colonisation rampante
et sournoise. En
1830, c’était un combat justifié tout comme il l’est aujourd’hui au large de la
Somalie. La vérité historique muselée est toujours là pour en témoigner. Les
actes des pirates barbaresques ne sont pas si éloignés non plus des actions
terroristes commises au Niger ces temps ci par les « pirates »
d’Al-Qaïda ou en Afghanistan par le Talibans, cachés derrière le voile de la
religion. Les opérations militaires sont tout aussi justifiées pour réduire à
néant ces groupuscules, résidus de la piraterie, nés de la décolonisation
européenne. La piraterie revient sous une autre forme mais bien réelle. Avec
le général Bugeaud[4], la
civilisation et les germes de liberté que la France avait apporté commencèrent
à s'infiltrer sur cette côte si longtemps inhospitalière dès le milieu du XIXe
siècle. Des maures, dérogeant à l'usage soigneusement observé pendant trois
siècles, avaient voyagé en Europe, et en avaient rapporté des lumières, faibles
encore, mais qui avaient produit un adoucissement notable dans quelques
familles. A Alger, des négociants parlaient bien le français dès 1832 et les francs-maçons y reconnurent des frères[5]. Que
reste t’il aujourd’hui de tout cela ? Des factions haineuses telles que
« les frères musulmans » entre autres, rejetons de la secte
des Assassins, affidés intégristes à la solde du Vieux de la Montagne,
Ben Laden. En Asie Au
début du XIXe siècle, ce qui inquiétait le plus le gouvernement de
l’empire Chinois de Kia-King, c'était ces nombreux et hardis pirates qui
ravageaient les côtes méridionales de la Chine, pendant presque tout son règne.
Chaque jour ils devenaient plus audacieux et ils défiaient le pouvoir du
souverain. Ils
percevaient des droits réguliers sur les vaisseaux marchands, et ils
respectaient ceux qui étaient porteurs d'une licence de leur commandant. Toute
jonque qui n'en était pas munie était déclarée de bonne prise. Dans
leurs excursions, ils ravagèrent souvent des villages entiers, dont ils
emmenaient la population. On ne la rachetait qu'au prix de fortes sommes
d’argent. Pendant ce temps, des révoltes que l'on croit avoir été combinées
avec les excursions des pirates, menaçaient l'empereur même dans sa capitale.
Les pirates devaient attaquer le palais impérial, le piller, et s'emparer de la
personne du prince. Ce projet avorta. Deux parents de l'empereur, impliqués
dans cette révolte (1815), furent mis à mort. De
nombreuses associations secrètes se formèrent en Chine sous le règne de
Kia-King. Leur but était de détruire le gouvernement et la domination des
Tartares. Cependant, il en existait déjà sous le gouvernement de Khian-Toung. Les
missionnaires européens furent souvent accusés de faire partie de la société
secrète des Pei-Tian-Kiao, ou secte du Nénuphar. Cette secte fut la plus
formidable sous le règne de Kia-King. Elle excita une insurrection dans le
Chan-Toung, qui s'étendit sur trois des provinces voisines. Leur chef s'arrogea
le titre de San Hoang, triple empereur, c'est-à-dire, empereur du Ciel, de la
Terre et des hommes. Ce furent soixante-dix membres de la secte de la Raison
céleste (Thian-Li) qui attaquèrent l'empereur à main armée dans son palais,
et en prirent possession pendant plusieurs jours. Ils n'en furent chassés
qu’après de grands efforts. D'après
les lois en vigueur, toute réunion de plus de cinq personnes était illégale. Et
pourtant ! De ces différentes sociétés secrètes s’est formée une autre
société plus puissante encore, nommée la société de la Triade, dont les
membres, comme les francs-maçons, se reconnaissaient entre eux à certains
signes ou symboles de convention. Son but fut aussi le renversement de la
domination Tartare. On lui attribue toutes les révoltes partielles éclatant de
temps en temps dans l'empire. La révolte des Boxers, au début du XXe
siècle, est une autre des ses œuvres. Fonctionnant comme une véritable mafia,
la Triade est toujours très active de nos jours. En Europe et aux Etats-Unis En
Scandinavie à Iombsbourg, au Xe siècle, on vit apparaître une
confrérie de pirates organisée pratiquant des rite assez particuliers. Les
membres y étaient admis qu'après avoir donné des preuves éclatantes de courage
dans les expéditions maritimes. Il leur fallait faire le vœu de venger la mort
de leurs frères restés aux combats. Les femmes n’étaient pas reçues dans
l'enceinte du fort. Palnatok, prince danois, fut pendant longtemps le chef de
cette fraternité Viking. Styrbjorn
dit Bjorn-le-Fort, fils d'Olaus, roi de Suède, organisa une expédition de
soixante-dix navires contre Palnatok. Il mena cette opération rondement et le
fort d’Iombsbourg fut détruit. Les raids Vikings ne cessèrent pas pour autant.
Le chef des pirates danois avait réussi à s’en sortir. Dans
son livre intitulé « Travel in the West », miss Hariett Martineau
rapporte l’anecdote suivante : « Le capitaine L.... commandait un navire du
commerce. Un jour, attaqué par des forbans, il est pris, dépouillé de tout ce
qu'il possédait et déposé avec son équipage, sans eau, sans provisions, sur une
île déserte et complètement stérile. Là, pendant trente-six jours, ses
compagnons et lui ne purent se procurer que quelques coquillages en quantité
insuffisante pour apaiser leur faim. Presque tous les matelots périrent.
Lui-même il allait expirer, lorsque le dévouement maçonnique lui apporta un
secours inespéré. Parmi les pirates se trouvait un Ecossais, franc-maçon comme
le capitaine L... Ils avaient échangé des signes au moment de la capture du
navire. Le pirate n'avait osé, en cet instant, intervenir en faveur de son
frère ; et l'eût-il fait, il n'aurait pu qu'exciter davantage la férocité des
misérables auxquels la violence seule avait uni son sort. En
Angleterre, un règlement en usage au XVIIIe siècle plus
particulièrement chez les corsaires démontre que les loges prenaient de plus en
plus d’importance sur « les pontons ». On y remarque l'exclusion de
toute affaire politique ou religieuse. Il ne s'agit, en effet, que d'entraide[8]
et de véritable fraternité, comme le démontre le récit précédant. Mais cela va
changer sous la houlette d’une instance pseudo maçonnique germanique. Aux
Etats-Unis, dans le journal du marquis de Lafayette nous pouvons lire une
conversation avec un citoyen américain. Celui-ci s’exprime ainsi : «
Mes compatriotes sont, comme vous le savez, grands voyageurs surtout par mer.
Ils courent souvent, par conséquent, le risque de tomber entre les mains des pirates qui infestent les parages des Antilles que nous
visitons beaucoup. Ces pirates, qui pillent et
pendent tout le monde sans distinction de croyances religieuses, ont un respect
particulier pour les francs-maçons qu'ils traitent
presque toujours en frères. Je pourrais vous montrer, sans sortir de Richmond,
un grand nombre d'individus qui n'ont dû le salut de leur vie et de leur
fortune qu'à un signe maçonnique fait à propos sous le cimeterre des écumeurs
de mer. » — Je compris alors la vénération et le zèle des américains pour la
franc-maçonnerie[9], dit
Lafayette pour conclure. Hélas cette vénération servira d’outil pour modeler
une maçonnerie étasunienne qui n’a plus rien de franche. Mafia Loge P2 et Commission Européenne Contrairement
aux corsaires travaillant pour leur pays (voyez Robert Surcouf[10]),
les confréries nautiques de pirates étaient apatrides et agissaient pour leur
compte. Elles furent les plus anciennes structures du crime organisé. Les
mafias européennes en sont leurs pendants terrestres. N’a-t-on
jamais vu plus fourbe, que deux associations de malfaiteurs issues d’une espèce
d’élite maçonnique dégénérée dont l’une dirige l’Europe, la Commission
européenne, et l’autre est ouvertement une organisation criminelle, bras armé
de la CIA dans son pseudo combat contre le communisme au cours de la deuxième
moitié du XXe siècle. On se souviendra du réseau Gladio et de son
rôle dans le kidnapping puis l’assassinat d’Aldo Moro. Gouvernements et médias
attribuèrent rapidement ce crime aux Brigades Rouges. En réalité il s’agissait
d’un meurtre commis par un commando
armé, réseau Gladio/OTAN, à la solde de la CIA via la Loge P2 (Propaganda 2),
en laquelle on reconnaît la résurgence des Carbonaris. ![]() Toutefois,
les membres composant cette Commission, qui peu à peu veut régir nos
vies à la baguette, n’ont rien d’une fraternité maçonnique. Ceux qui sont à sa
tête souhaitent la destruction des états souverains. Tout le contenu de son
programme lui vient de la piraterie apatride en quelque sorte. La propagande
qu’elle déverse sur le continent européen est l’application du projet fomenté
il y plus de 200 ans par Adam Weishaupt, ancien jésuite, fondateur des
Illuminés de Bavière. Ce faisant, avec l’appui des fraternités de la mort
américaines (S&B par exemple). Fraternités qui, à l’instar des flibustiers
d’antan, arborent fièrement pour emblème une tête de mort au dessus de deux
tibias entrecroisés. Malheureusement, le symbolisme maçonnique a largement été
plagié et caricaturé par toutes sortes de fratries déviantes. Ceci explique
cela.
Dès
1783, au convent de Wilhelmsbad, fort de leur plan « sataniste », les
Illuminés de Weishaupt œuvrèrent à infiltrer insidieusement les loges
maçonniques chrétiennes européennes, rite écossais rectifié en poche.
Elles y parvinrent ardemment malgré tous les discours prétendant le contraire.
La Révolution française ourdie par cette horde sanguinaire, parmi lesquels
Robespierre et Marat, est la résultante de ce complot et l’étape initiatrice
visant la destruction du « trône et de l’autel », comprenez :
des monarchies européennes et de l’Eglise Catholique. Le programme est
pratiquement achevé. On
le sait parfaitement aujourd’hui. En France, plusieurs présidents de la IIIe
République et leurs gouvernements successifs, dont la majorité des membres[11]
se réclamaient de la franc-maçonnerie, ouvertement anticléricale, furent le
catalyseur du projet[12].
Un projet commun mis en route réellement avec le déclenchement de la première
guerre mondiale, seconde étape pour la destruction des grands empires centraux
d’Europe : Autriche/Hongrie, Russe et accessoirement Ottoman. Le plan
s’est poursuivi au-delà de tout espérance avec la seconde guerre mondiale pour
démanteler les empires coloniaux français et britannique pour faire bonne
mesure. A
la différence de la France, les Britanniques garderont la mainmise sur leur
empire avec le Commonwealth. Par effet de boomerang avec le traité de
Versailles signé en 1918, la France ne put rien sauvegarder : nada !
Des clopinettes ! Les Britanniques ont toujours eu partie liée avec les
U.S.A. Winston Churchill[13]
l’avait clamé haut et fort à Charles De Gaulle. Il est facile de comprendre les
compromissions anglo/américaines[14]. Après
guerre tout l’empire colonial français s’est donc délité sous l’action
conjuguée des anglo-saxons de la City (ou Scythie ?) de Londres, le plus grand centre de la finance européenne, et de la taupinière baptisée joliment Communauté européenne du charbon et de l'acier.
Communauté économique créée non par la France mais à l’instigation de
Robert Schuman au nom soi-disant de la France. Quand on sait que les
charbonniers d’Italie, autres membres de la Communauté, sont les fameux
Carbonaris associés indubitablement aux Illuminés de Bavière[15]
et plus tard à la Loge P2, on est en droit de se demander qui dirige
quoi ?
L’Union
Européenne est l’aboutissement de ces connivences mafieuses « oeuvrant »
sournoisement à la destruction des grands états tel que la France au profit
d’un Nouvel Ordre Mondial ou Pax Américana dont on nous rebat les
oreilles quotidiennement. De
nos jours les pirates n’ont rien du capitaine Jack Sparrow, héros ou bouffon,
c’est selon, aux idéaux romantiques véhiculés au travers d’une production de
Walt Disney. Ce dernier, franc-maçon lui-même, doit se retourner dans sa tombe. Dernièrement,
l’ingérence outrancière de la Commission européenne dans la politique
intérieure de la France, vis-à-vis de l’expulsion du pays d’immigrés
clandestins que sont les Roms, est la preuve définitive que cette Commission et
ses sbires veulent mettre la France en coupe réglée. Elle incite à
l’immigration clandestine en provenance notamment de l’Afrique. Elle édicte des
lois iniques, suivies par les divers gouvernements français, pour faire taire
les contestataires. Ceci dans le but de favoriser cette colonisation rampante
et dissoudre notre culture judéo-chrétienne dans une fosse commune. Les membres
de cette Commission sont les fossoyeurs des libertés et de la culture
européenne. Malgré
tout, on ne peut faire l’amalgame entre ces naufrageurs, fils d’A. Weishaupt
rejetons du Scythien, et les véritable Enfants de la Veuve que tout
oppose : pirates pour les uns et francs-maçons humanistes pour les autres. La
France, est en grand péril si l’on n’y prend garde. La démocratie est bafouée,
si l’on considère qu’elle eut un jour existé dans cette Europe d’après
guerre. La Constitution de 1793 nous garantit de toute division au grand dam
des Illuminati Germaniae qui l’entouraient à l’époque. La France est
« une et indivisible » et non pas multiculturelle ou multi… je ne
sais quoi de si cher à des « verts de gris » prônant le morcellement
de nos régions et la phagocytage de notre culture. Et quoiqu’il arrive la
France de Clovis est et restera la fille aînée de l’Eglise. Mais
pour avoir vendu le pays à ces pirates, tous les partis politiques français au
pouvoir, toutes couleurs politiques confondues (rouge, rose, bleu, vert), ont
fait preuve de « j’en foutisme » ou pis !... sont coupables
de haute trahison et passibles des tribunaux. Ni racisme ni xénophobie ici, juste de la légitime défense contre la Commission européenne face à la destruction annoncée de notre mode de vie. C'est simple à comprendre. La
guerre des clones ou la revanche des Siths (entendre Scythe) a bien eu lieu sous le couvert des médias
hurlant au conspirationisme, à l’extrémisme, pour masquer la forfaiture de ces
associations de malfaiteurs. Au mieux, ils nous assurent de leur incompétence.
Toute ressemblance avec les personnages d’une superproduction américaine bien
connue ou des situations existant ou ayant existé s’avère maintenant une
réalité dépassant largement la fiction. C’est de « La Buse » de
pouvoir, pour en revenir à notre cryptogramme du forban, si j’ose dire. A défaut d'avoir révélé un quelconque trésor, ce message codé nous aura au moins fait comprendre ceci :
les pirates en col blanc sont au pouvoir à Bruxelles. Ils sont à nos portes et
nos politiques leurs ont donné les clés.
[1]
Curiosités historiques, par une société de gens de lettres et d’érudits, éd.
Paulin & Le Chevalier, Paris, 1855, p.137. [2] Choses du nord et du midi, Emile de
Montaigut, 1886, p.16. [3]
La guerre de 1870, simple récit, Général Niox, libr.
Delagrave, 1897, p.5. [4]
Thomas Robert Bugeaud, membre de la Loge Bélisaire d’Alger. [5] Dictionnaire de la conversation et de la lecture,
T.1, 1832, p.306. [6]
Histoire abrégée de la franc-maçonnerie, R.-F. Gould. [7]
L'Orient: revue universelle de la franc-maçonnerie, T.1, par Bègue-Clavel,
1845, p.145. [8] Histoire des corsaires, par Jean Merrien, p.212. [9]
Lafayette en Amérique, en 1824 et 1825: ou Journal d'un voyage aux États-Unis,
par Auguste Levasseur, 1829, p.460. [10]
Loges la Triple Espérance de Port-Louis (Ile Maurice) et la Triple Essence à
Saint-Malo. [11]
De Léon Gambetta à Paul Doumer en passant par Jules Ferry ou Lazare Carnot etc. [12]
Loi de 1905 par exemple, sur la séparation de l’Eglise de l’Etat. [13]
Initié des loges United Studholme n°1591 et Rosemary n°2851 à Londres. [14]
Voir Harry Truman, Grand Maître de la Grande Loge du Missouri et membre la loge
Belton n°450 (Missouri) [15]
Dictionnaire des Sociétés Secrètes, sous la direction de Louis Pauwels, Ed
Culture Art et Loisirs, 1971. |