Pierres Miraculeuses
La Géométrie Sacrée du château de Gaillon

 

L’écrin Bleu

 

En cette fin de XVe siècle, l’Europe, la France en particulier, aspire à de nouveaux horizons.  Il n'est pas vain ni prétentieux de dire que Gaillon fut, dès le début du XVIe siècle, le premier foyer du style Renaissance en France car c'est la vérité. Même si peu de gens le savent, et ne s'intéressent qu'aux maçonneries du Val de Loire, nous pouvons le lire en toutes lettres dans diverses grandes encyclopédies:

« Le paysage artistique français resta tout au long du siècle très lié au gothique flamboyant. Toutefois, le Val de Loire et la Normandie devinrent les premiers centres de diffusion du nouveau style. Le pavillon d'entrée du château de Gaillon, dans l'Eure, dont la construction s'acheva en 1510, constitue le premier exemple d'une architecture entièrement représentative du phénomène. Agrémenté de jardins à l'italienne et orné de sculptures provenant d'outre-monts, le bâtiment fut commandé par le cardinal Georges d'Amboise, archevêque de Rouen et vice-roi de Lombardie. Le roi François Ier construisit peu après ses premiers palais Renaissance: Blois, Chambord (dont le plan est parfois attribué à Léonard de Vinci) et Chenonceaux. Le grand escalier de Blois, achevé en 1524, démontre que les architectes avaient alors assimilé les principes théoriques de la Renaissance[1]».



Mais qui pourrait reprocher à nos concitoyens cette méconnaissance du site? Depuis 1789, tout semble avoir été fait pour que Gaillon sombre dans l'oubli. Mis à part les quelques ouvrages publiés par des historiens régionaux, dans lesquels nous avons puisé pour écrire ces pages, rien n'a été réalisé à l'échelon national. Il ne suffisait pas de le détruire dans ses fondements, il fallait aussi le faire dans la mémoire collective.

 

La barque qui coule

 

Que reste-t-il aujourd’hui de cette splendeur passée? En vérité, pas grand chose. Les deux sourires de cette femme radieuse et mélancolique ne sont plus qu’un vague souvenir esquissé en bordure d’un cabochon d’émeraude.

Pour le lecteur qui a l'envie de connaître, pour l’ami ou l'amoureux des arts et de l'Histoire avec un grand H, nous allons tenter de restituer avec le plus grand soin, comme l'a fait Mr A. Deville dans son ouvrage de 1850, une image la plus fidèle possible de cette Dame blonde, fille aînée de la Renaissance en Normandie. Nous nous bornerons à décrire l'aspect architectural des bâtiments tels qu'ils apparaissaient au XVIe  siècle. Suivez le guide!

L'ensemble de l'édifice est orienté plein Sud, affectant la forme d'un pentagone irrégulier. Dans les rares parties ayant survécu, le pavillon d'entrée fortement éprouvé pendant la révolution a retrouvé un semblant de vitalité depuis 1976.

Le pavillon d'Estouteville construit au milieu du XVe siècle constitue en majorité l'aile ouest avec sa tour octogonale située dans la cour. Vers l'Orient une belle galerie dite «du Val» longe les bâtiments qui rejoignent au Nord la maison et le pavillon dit «Delorme», nom du maître maçon, au propre comme au figuré[2], ayant construit l'ouvrage. Maçons et tailleurs de pierres au XVIème siècle

Au sud de cette galerie, le cardinal d'Amboise avait fait édifier une chapelle de type royal à deux niveaux ; le premier appelé «Chapelle Basse» existe encore et le second  «Chapelle Haute» a disparu entièrement. Pour accéder à la Chapelle Haute il y avait un grand escalier dit «Grand Vis» (détruit). En passant par le déambulatoire de la chapelle Basse on accédait à la galerie du Val jouxtant «la Grand Maison» (aile Est).

La cour d'honneur cernée par «la galerie des cerfs» richement décorée (en cours de restauration) était séparée en deux par le portail de Gênes. Cette cour exposait en son centre une superbe fontaine en marbre à deux vasques (détruite). On en sortait par le pavillon Delorme (détruit) et entrait dans les jardins dits «d'en Haut» (détruits). A gauche, un ermitage ainsi qu'une chapelle (détruite) s'offrait à la vue et dans leur prolongement l'allée du Lydieu avec son pavillon d'été, «la maison Blanche», entourée d'eau (tout cela est détruit). En sortant à droite on distinguait une orangeraie (disparue) et tonnes ou tonnelles (détruites) bordant le flan Est du jardin. Quand J.N. Colbert entreprit ses nouvelles constructions, il remania les jardins. Il fit poursuivre sur le flan Est la galerie du Val et fit construire un grand pavillon avec un étages dont la toiture a été restaurée récemment. Au pied du château, les jardins dit «de bas» au N/E furent embellis sous Colbert (projet en cours). Voilà une description du château dans ses grandes lignes. Maintenant il convient de détailler les différentes parties de cette bâtisse avec les égards qui sont dus à une demeure cinq fois centenaire. De ses plus beaux atouts, il nous reste pour notre part de rêves les plans et esquisses de J. Androuet du Cerceau ou Israël Sylvestre qui illustreront cette page.

 

Une Architecture Sacrée

Avant de passer à la visite guidée des différents bâtiments, nous aimerions entretenir le lecteur de certains traits architecturaux fondamentaux que maniaient et maîtrisaient nos ancêtres.

La géométrie dite sacrée est de celles-là. Certains savants, de Pythagore à Adolph Zeising[3], avaient compris que l'univers a été créé par ce qui est appelé « l'Esprit Pur », en suivant certains modèles géométriques simples : rectangle, triangle, pentagone. 


Géométrie sacrée du Château de Gaillon

Tous les édifices considérés comme sacrés ont été érigés selon les plans des Maîtres d'oeuvre, et construits pour durer selon des mesures et des proportions sacrées centrées sur l'Harmonie, avec le matériau le plus durable, le plus malléable et le plus expressif qui soit : la pierre[4]. Ces monuments ont été construits selon des règles strictes, où le hasard n'avait aucune place. Cette technique était manipulée avec Grand Art en vue d'un projet au service d'un Idéal associant métaphysique et vision du Monde où l’expression des rapports de l'Homme avec la Nature, ce qui l’entoure, rejoint son Créateur et le guide vers le Chemin Doré.

Les lignes harmonieuses du Château de Gaillon ne sont donc pas le fruit du hasard ou dues au coup d'œil juste. Elles naissent nécessairement de la Divine Proportion[5], horizontale et verticale, pour créer un volume dont les vibrations transcenderont le Corps et l’Esprit. L'orientation, les proportions, la destination finale, dans tous les sens du terme, du château témoignent d'un savoir-faire extraordinaire.

La planche jointe ci-dessus illustre la Géométrie Sacrée définissant la Section Dorée ou autrement dit, l’application du Nombre d’or[6] pratiquée avec science par Jean Juste de Tour, Fra Giocondo et les autres architectes ayant oeuvré à Gaillon.

Fontaine de la cour d’honneur

La Section Dorée, située au niveau de l’aile nord du château, sera résolue à partir de la cour d’honneur dont la fontaine monumentale, gravée de 4 G inversés en était symboliquement le Centre Gravité. De toute évidence, il découlera de cet exercice de Géométrie Sacrée un pentagramme, une étoile à cinq branche

Il en résulte une approche nouvelle faisant de ce Château Renaissance un « Nouveau Temple » plus qu’un Palais de plaisance archiépiscopal. Pendant des milliers d'années, l’interprétation de la science par le sacré a été transmise parmi des initiés au sein de sociétés secrètes. Mais ceci fera l’objet du second volume.

 

Des plans sur la comète

 

En 1954, Elisabeth Chirol, auteur de l’ouvrage « Le château de Gaillon, un premier foyer de la Renaissance en Normandie »[7], publiait dans le Bulletin monumental[8] une étude comparative sur un plan présumé du château de Gaillon retrouvé aux archives départementales de la Vienne par M. René Crozet.

Après une analyse mathématique du document, elle en avait déduit qu’il n’y avait aucune équivoque à son sujet. La superposition des deux plans (définitif et présomptif) ne laissait planer aucun doute.  Il s’agissait bien d’un projet pour le château de Gaillon réalisé entre 1500 et 1502 (ou 1504) en Italie. Cependant, elle ne put découvrir le nom de l’architecte, auteur du fameux plan.

Avec force de détails, elle nous persuade de la justesse de ses propos. Le plan aurait été fait sous l’autorité de Georges d’Amboise, vice-roi du Milanais, pendant la campagne d’Italie du roi Louis XII. Selon elle, le cardinal abandonna le projet car les audaces du plan avaient effrayé les maçons locaux.

Notre étude du nouveau modèle démontre qu’ils avaient de quoi être terrifiés car il ne respecte en rien les spécificités de l’Architecture Sacrée. Aucun point de symétrie n’est ordonné selon la Divine Proportion. Quelle que soit la forme géométrique utilisée pour tenter de définir la Section Dorée, les tracés sont anéantis par un de centre gravité excentrique. Carré, pentagone, triangle, rectangle, toutes formes ne désarment pas contre l’ascendance cosmique de leur destinée. Le superstitieux aidant, nous concevons mieux à présent les raisons du renoncement des maçons du XVIe  siècle. Car dès le Moyen-Âge, le château de Gaillon fut un terrain propice pour les guildes de bâtisseurs et leur vocation initiatique profonde.

Deux tours sur un échiquier

 

Alors, faut-il voir dans la construction médiévale du Castel Gallioni une quelconque influence occulte ou d’occultistes ? Ce qui vient d’être exposé le prouve indéniablement. La suite tout autant !...

Dans le Château de Gaillon médiéval les tours du pont-levis, Job et Baudet, orientées vers le Midi, rappellent étrangement Joachim[9] et Boaz, les deux colonnes situées à l’entrée du Temple de Salomon soumises à la vigilance de maître jacques. Joachim et Boaz furent reprises dans les rites et symboles franc-maçonniques (J - B) du XVIIIe siècle.

On ne connaît pas vraiment la date de la construction des deux tours gaillonnaises. On peut juste l’estimer vers 1262, époque où le château passa entre les mains d’ Eudes Rigaud, archevêque de Rouen. Ainsi la référence biblique au livre de Job nous remet en mémoire le verset 11.-12 où il est dit en substance que l’homme doit apprendre pour ne pas rester dans l’ignorance tel un onagre[10] ayant la tête creuse.

Gisors: Pilier des tanneurs (Eglise St Gervais St Protais).
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Sans sauter du coq à l’âne et sans déraper car il n’y a pas qu’un âne qui s’appelle Martin, les tours du château médiéval de Gaillon, Job et Baudet, marquent l’affiliation d’une confrérie d’initiés : les tanneurs, que nous retrouveront bientôt à Gisors[11], ayant pour patron saint Martin. C’est ici l’Ordre connu sous le nom de martiniste. Le terme « martiniste » est un peu fourre-tout. Il a englobé des groupements assez divers, mais ayant tous en commun une notion particulière de la spiritualité chrétienne. Selon la rumeur, Bérenger Saunière aurait été membre d’une Loge martiniste lyonnaise. Il n’y a malheureusement rien pour le prouver. Louis Claude de Saint-Martin fut l’un des pères, sinon le père, fondateur de la doctrine martiniste. Disciple de Martinez de Pasqualy, il recruta vite des membres dans de nombreux pays au XVIIIe siècle. Ainsi le voit-on tendre ses filets dans la région gaillonnaise : « J’ai revu, dit-il, depuis Mr de Pontcarré à Rouen et chez M. d’Etteville près de GAILLON, où je fut bien fâché de ne pouvoir rester que trois jours, parce que j’avais l’espoir d’y défricher utilement quelque terrain. »[12]

Saint-Martin ne fut pas le seul occultiste à s’intéresser à la région. Un demi siècle plus tôt, le 18 mars 1697, la société de la ROSE+CROIX, semble t’il, tenait séance à Gaillon. Nous parlons ici de la Société fondée en Allemagne par Johan Valentin Andréa au XVIIe siècle et non du prétendu organe occulte qui aurait vu le jour à Gisors en 1188, ni du grade maçonnique du même nom créé par les loges au XVIIIe siècle. C’est une lettre de l’abbé Nicaise[13], en réponse à une demande de recherche sur des documents historiques émanant du « frère très zélé » Leibnitz[14], qui en fait foi. Nous publions un extrait manuscrit de la lettre nous ayant été communiqué.

 

 

Outre la documentation sur le concile de Bâle, les motivations de Leibnitz restent assez floues quant à la nature ses recherches historiques. Dans cette correspondance, on trouve également une mention concernant une étrange médaille dite de Zénodore. Les dernières informations recueillies sur celle-ci nous laissent dubitatif car il s’agirait d’un talisman alchimique...

L’histoire de Gaillon demeure donc la partie de l’énigme la plus méconnue. Ajoutons qu’en 1404, l’archevêque Louis d’Harcourt fit placer une statue de saint Michel[15] entre les deux tours. Les textes maçonniques datant de l’époque des compagnons bâtisseurs disaient que Dieu fut le premier maçon (le grand architecte) puisqu’il créa la lumière (que la lumière soit : fiat lux, la devise de Georges d’Amboise puis de Gaillon) et qu’il nomma l’Archange saint Michel grand maître de la première Loge[16].

Le tableau ou plutôt le tablier maçonnique serait incomplet si nous omettions de mentionner les multiples sièges de l’Échiquier de Normandie au sein du château de Gaillon. L’Échiquier était une cour de justice itinérante dont l’origine est confuse ; elle proviendrait des pays germaniques. Elle fut réformée par Georges d’Amboise.

Des colonnes J et B du temple de Salomon, de la représentation de saint Michel ou de l’échiquier, nous découvrons dans le château Gaillon, dès la fin du XIIIe siècle, les symboles des fraternités maçonniques organisées en 1717.
De la franc-maçonnerie à l’alchimie, nous n’avons pas beaucoup le temps de souffler et le dragon a encore des secrets à confesser.

 

Extrait de « Mémoires des deux cités T. I et T.II, Gaillon Historique et Mystique » et mise à jour .

© Thierry Garnier – M2G éditions, 2004/2005-2007

Disponible en mars 2007:
Seconde Edition de "Mémoires des deux cités, T2 - Gaillon mystique"


Chaque ville et village de France détient sa part de mystère. Gaillon n'a-t-elle été que la villégiature des archevêques de Rouen ? La Chartreuse de Bourbon-lèz-Gaillon n'a-t-elle été qu'une paisible abbaye où vivaient en toute quiétude quelques moines de l'Ordre de Saint Bruno ?

La face cachée de l'histoire de Gaillon, qui vous sera contée ici, va vous révéler des évènements que nul n'a su découvrir et dont certains ne voulaient entendre parler.

A Gaillon comme ailleurs, quand les pierres parlent on les fait disparaître. Mais les murs ont des oreilles et ils raisonnent encore aujourd'hui des frasques et complots en tout genre qui ont modelé la France d'hier… jusqu'à aujourd'hui.

L'œuvre de Maurice Leblanc n'a-t-elle été qu'une suite de romans populaires ? Ou Arsène Lupin et ses autres héros furent-ils des faire-valoir désignés pour crypter et délivrer un message codé connu de quelques sociétés secrètes ?

Cet ouvrage s'adresse à tous les passionnés férus d'énigmes historiques. Aussi étonnant que cela puisse paraître, les mystères de Gaillon et du pays de Madrie se mêlent à l'affaire de Rennes-le-Château, dans l'Aude, dont le curé Bérenger Saunière s'enrichit soudainement dès 1891.

Maurice Leblanc, fin connaisseur de l'histoire de la France secrète, a introduit et codifié ces énigmes dans sa trame romanesque. La CLEF, passe-partout capital que nous avons découvert, nous permet maintenant d'ouvrir la porte de la Demeure Mystérieuse afin de percer les véritables secrets de l'Aiguille Creuse en passant par l'île aux trente cercueils ou Dorothée danseuse de corde…

Cette nouvelle édition est illustrée d'une centaine de photos et documents, dont 40 INEDITS, 4 cartes et 1 tableau chronologique (en N&B à la différence de la première édition numérotée parue en novembre 2005). Vous y découvrirez les 11 preuves rattachant la Normandie aux énigmes du Languedoc et révélant ainsi des aspects ignorés de l'affaire de Rennes-le-Château. Gravures, peintures, monnaies anciennes, documents généalogiques et boiseries sont ici dévoilées et disséquées, vous invitant au voyage en Terre Inconnue.
Info chez M2G éditions, 41 rue Jacques Prévert, 27600 Gaillon

MEMOIRES DES DEUX CITES - T.2, Ou le fabuleux carnet de voyage hermétique d'Arsène Lupin, de Gaillon à Rennes-le-Château... par Thierry Garnier, M2G éditions, préface de Franck Marie, 358 pages - 23,90€ (+ 2.97€ de frais de port). A commander chez BiblioWeb.fr

 



[1] Encyclopédie Encarta 98.

[2] F.°.M, un des thèmes traités dans le second volume.

[3] Adolf Zeising (1810-1876), docteur en philosophie et professeur à Leipzig puis Munich, parle de "section d'or" (der goldene Schnitt) et s'y intéresse non plus à propos de géométrie mais en ce qui concerne l'esthétique et l'architecture. Il cherche ce rapport, et le trouve (on trouve facilement ce qu'on cherche) dans beaucoup de monuments classiques. C'est lui qui introduit le côté mythique et mystique du nombre d'or.

[4] Aperçus sur la géométrie sacrée,  Pierre Marçais et Denise Rey, éd. G.uy Tredaniel, 1998.

[5] Cf : Fra Luca Pacioli, un moine professeur de mathématiques qui a écrit De divina proportione ("La divine proportion") vers 1498.

[6] Ce Nombre d’or est égal à 1,618. On le désigne par la lettre grecque «phi»  en hommage au sculpteur grec Phidias (490 - 430 avant J.C) qui décora le Parthénon à Athènes. C'est Théodore Cook qui introduisit cette notation en 1914.

[7] Le Château de Gaillon par Elisabeth Chirol, Ed Picard, 1952.

[8] Bulletin monumental 1958 n°3, Orléans, chez  M. Pillaut.

[9] Jakin ou Jaqin en hébreux.

[10] Âne sauvage.

[11] Voir le pilier des tanneurs dans l’Église Saint-Gervais et Saint-Protais de Gisors.

[12] Saint-Martin, le philosophe inconnu, par Jacques Matter, éd Didier & Cie, 1862, p.80.

[13] Fragments Philosophiques, T.II, par Victor Cousin, lib. Ladrange, Paris,  p.277.

[14] Gottfried Wilhelm von Liebnitz (1646-1716), bibliothécaire, mathématicien et philosophe allemand. Agé de 20 ans, il se fait Rose+Croix en 1666.

[15] L'Archange saint Michel par ses qualités de Messager remplaça rapidement Mercure - Thot Hermès.

[16] Synonyme respectivement de Tubal-Caïn et d’Hiram, la Franc-maçonnerie oubliée,  R. Ambelain.