C’est dans un ensemble
de cavernes communicantes, au cœur de ces terres désolées
et inhospitalières qu’en 1938, l'archéologue Chi Pu
Tei et son équipe découvrirent une série de tombeaux
alignés aux formes géométriques. Cet évènement
banal en apparence sera le point de départ de ce qui est sans conteste
l'une des plus extraordinaires affaires touchant les traces d’OVNI
dans l’« Antiquité Préhistorique ».
L’archéologue en effet ne tarda pas à s’apercevoir
que les parois des grottes qui abritaient cet ensemble funéraire
étaient elles aussi étrangement géométriques
et lisses. Un examen plus approfondi de la roche révéla
que ce vaste complexe souterrain était d’origine artificielle
! L’« heureux découvreur » et son équipe
n’étaient cependant pas au bout de leurs surprises. Les tombes
contenaient en effet des squelettes humanoïdes d’une taille
minuscule (parfois moins d’un mètre), aux corps anormalement
chétifs et pourvus de crânes au front bas, très longs
et larges, d’une taille manifestement disproportionnée par
rapport au reste de leur anatomie. Outre ces vestiges indubitablement indicatifs d’une antique culture
scientifique, Chi Pu Tei et son équipe mirent au jour un grand
nombre de disques de pierre (716 !), du même granit que les parois
de ces grottes. Ces objets étaient pourvus de sillons continus
en forme de spirale contenant toujours la même écriture hiéroglyphique
inconnue. L’histoire contée par ce disque était à tel point en contradiction avec tous les dogmes scientifiques de l’époque, que l'Académie de Préhistoire lui défendit formellement de publier ses résultats. Mais celle-ci finit par se raviser, et l’interdiction fut levée en 1965, de sorte que Tsum Um Nui et quatre de ses collègues purent publier leur étrange traduction , laquelle jette un certain éclairage sur la nature réelle des DROPAS. Selon ce texte en effet, les DROPAS, une ethnie d’aspect inhabituel,
apparut soudainement dans cette partie du TIBET, il y a douze mille ans,
suite au crash de leur « avion des nuages ». Touchant l’étrange « avion des nuages », vecteur de ces DROPAS, n’oublions pas que les traditions des Australoïdes au sujet des Nagas, très vivaces dans cette partie du monde, leur prêtaient notamment le pouvoir de « voler dans l’espace », et que les Védas Hindous ajoutent qu’ils usaient pour ce faire d’engins volants de grande science appelés les VIMANAS ! Mais, comble de l’étrange, des enquêtes menées
ensuite par des anthropologues au sujet du légendaire de ces lieux
révélèrent qu’il corroborait parfaitement l’histoire
de ce peuple venu de nulle part. Une description qui concorde tout aussi anormalement avec celle des Nagas et autres Australoïdes ! Taille minuscule (moins d’un mètre pour les squelettes humanoïdes retrouvés en 1938 par Chi Pu Tei – lesquels furent datés de la même époque que les inscriptions des disques touchant les Dropas, soit douze mille ans), corps chétif, le tout couronné par un chef surdéveloppé au front bas (tel qu’attesté par ces mêmes squelettes). Mais le plus extraordinaire rebondissement de cette invraisemblable affaire
se produisit en 1995, lorsque la Chine, après de longues tergiversations,
décida de rendre publique une découverte ethnologique qui
fera sensation : Toutes caractéristiques qui les firent qualifier par les scientifiques d’« ethnologiquement inclassables ». Outre les traits physiques de ces peuplades, immanquablement révélateurs
d’une ascendance Naga et Australoïde, il est d’avis que
leurs dénominations elles-mêmes se font l’écho,
à peine déformé par les siècles, de leur origine
Caïnite (de Caïn, premier Habitant de la Terre et rejeton du
Serpent d’Eden). ![]() Quant à l’ethnie voisine DZOPA ou « DROPA », elle n’est point en reste. Ce nom serait en effet à rapprocher de celui d’un autre de ces peuples montagnards du Tibet appelé « DROK-PA ». Lorsque l’on sait que le suffixe « –PA » signifie en chinois « les gens », « le peuple », on ne peut qu’identifier dans la racine « DROK » ou « DRAK », le DRAGON ! Rappelons pour mémoire que les Nagas avaient la peau écailleuse, qu’ils étaient réputés capables de voler dans l’espace (grâce à leurs engins volants Vimanas) et même de cracher du feu, à en croire leurs descendants Dravidiens, d’où leur lien évident avec le symbolisme du DRAGON (que l’on retrouvera à Draguignan avec les Mérovingiens, et dans le nom de Dagobert ou DRAGOBERT) et là encore celui, biblique, du SERPENT et de CAÏN son fils. Cette ethnie serpentesque « caïnite » (descendante de Caïn, le Premier Occupant de la Terre) ou « PEUPLE DU DRAGON » (DROPA ou DROK-PA), à l’apparence pour le moins étrange, aurait ainsi, à bord d’« avions des nuages », colonisé exactement les mêmes régions (marécageuses, désertiques ou montagneuses) que les multitudes australoïdes : l’Himalaya, donc le TIBET et son Mont MÉRU, le désert de GOBI (où nous retrouverons au XII ème siècle le « royaume du prêtre Jean », prolongement du VAR originel édifié par le souverain JEAM), certaines provinces de CHINE (cf. HAN-DROPAS), ainsi que l’INDE voisine , mais également l’Ethiopie ou « Inde Africaine », où sera plus tard, au XIV ème siècle, localisé ce fameux « royaume du prêtre Jean ». En somme, la légende des Nagas, êtres serpentesques se déplaçant au moyen d’engins volants ou Vimanas, constitue le centre symbolique du réseau de correspondances reliant entre elles toutes ces peuplades. Or, curieusement, c’est précisément cette origine
si particulière (caïnite) que les Nagas, Australoïdes,
Dropas et autres Dravidiens partagent, comme nous allons le voir, avec
une peuplade de renommée flétrie, davantage proche de nous
dans le temps, qui se popularisa à partir du XV ème siècle
en France sous le nom générique de « CAGOTS ». Quant aux incertitudes touchant cette catégorie d'individus,
certains les disent issus pour partie d'anciens Goths, voire de Sarrasins,
mais Mme Charpentier, dans son ouvrage sur la sorcellerie au Pays Basque,
remarque : « On ne sait pas, aujourd'hui encore, qui ils étaient
ni d'où ils venaient, ils étaient, voilà tout. Quant
à leur apparence, on peut dire qu'ils semblaient mal-nutris et
avaient l'air maladif. » Le docteur allemand Kant, quant à
lui, déclare qu'ils auraient le teint basané, les cheveux
noirs, les yeux gris et les pommettes saillantes.
Bien que persécutés dans les premiers temps, les Cagots furent plus tard tolérés, jusqu'à l'acceptation d'une certaine promiscuité. Les représentants de ce peuple de parias, alors superstitieusement qualifiés par les moyenâgeux de « race maudite », furent dénommés « Chrestians », « Gahets » , « Gésitains » , enfin « Cagots ». Les Cagots ont des particularités physiques indubitables et fort révélatrices d'un certain passé, d'une certaine hérédité serpentesque : ils sont de petite taille , à l'instar des Nagas, Australoïdes, Dropas et Dravidiens, chauves, dépourvus de pavillons d'oreilles ainsi que de lobes (ou atrophiés de cet organe), en cette place on ne distingue que deux trous, semblables aux organes auditifs des reptiles et des oiseaux ; le teint olivâtre laisse enfin deviner une peau particulière, peut être fort sombre ou simplement écailleuse. En sus, ils ont les pieds ainsi que les mains palmés, et dégagent de surplus une chaleur corporelle inhabituellement élevée, et sans doute radioactive. On les regardait alors, (tels les Adamites vis-à-vis des Nagas et la tribu Ham à l’égard des Dropas) comme ayant un aspect repoussant, d'où le fait qu'on les qualifiait d'« intouchables », et obligation leur était faite de se vêtir au complet, jusqu'à la tête, laquelle était encapuchonnée. Les pieds chaussés, comme s'il leur était donné de pouvoir causer quelque effroi au bon peuple, imposition leur était de plus faite de porter sur la poitrine une « pédauque », soit une patte d’oie séchée et peinte en rouge. A l’époque,
ces obligations prenaient déjà la forme la plus solennelle
qui soit : c’étaient, davantage encore que des coutumes ordinaires,
de véritables obligations juridiques, consacrées à
maintes reprises par les tribunaux de l’époque, appelés
« parlements », qui disaient le droit en rendant la justice. En dépit de l’étrangeté physique que laisse immanquablement présager de semblables coutumes et mesures de séparation ethnique, il faudra attendre le XVI ème siècle et Ambroise Paré (1509 – 1590, père de la chirurgie moderne et homme de sciences diverses, affecté au service du roi Henri II) afin de recueillir la première véritable étude médicale et clinique des particularités de cette très curieuse peuplade. Il semble donc qu'il faille admettre qu’à l’époque, certains Cagots vivaient toujours isolés et n'avaient point perdu leurs particularités physiologiques (ou si peu). Ambroise consigna par écrit ses constatations diverses, qu'il
nous rapporte en ces termes : « L'un d'eux tenant en sa main une
pomme saine et fraîche, celle-ci apparut bientôt ridée,
et sèche, comme si elle eût été abandonnée
aux rayons du soleil huit jours durant. » Paré interprète
cette réaction comme étant la conséquence de la chaleur
dégagée par le corps du Cagot (il est toutefois plus vraisemblable
qu'il s'agisse d'un effet de la radioactivité interne de ce dernier). Les Cagots ne vivaient pas démunis de tout, car ils avaient un sens élevé des affaires. C'est ainsi que les anciennes archives notariales nous ont livré le détail de biens enregistrés suivant le décès de Cagots. Il s'agit d'un niveau de vie respectable et pour tout dire, de nature à permettre à ces êtres de se hisser jusque dans les classes sociales dirigeantes. Ils possédaient d'ailleurs une capacité juridique fort large pour ces temps. Toutefois, notons qu'il leur était interdit de se marier, ou d'avoir même simplement commerce avec les autres habitants. C'est ainsi que la rumeur populaire les dit bisexués, ce qui laisse à penser en outre qu'ils sont à l'origine partiellement dénués de caractères sexuels prononcés, ou, et cela porte intérêt, qu'ils changent alternativement de sexualité, un peu à la façon des escargots appelés anciennement « escagots », avec lesquels d’ailleurs ils partagent le sang bleu. Serait-ce leur ancien nom que le terme de « Cagot », ou
bien l'appellation scientifique qu'on leur donna plus tard ? Il faut dire
que le terme « Cagot » est entré en usage et ne s'est
généralisé qu'à partir du XVI ème siècle,
c'est-à-dire suite aux grandes recherches médicales opérées
par Ambroise Paré et ses successeurs, d'où il ressort que
la terminologie de Cagot est issue non d'une dénomination populaire,
mais de la constatation médicale que ces êtres avaient certaines
particularités des escargots ; en outre que l'on prononçait
anciennement « escagot ». Enfin, selon une hypothèse précédemment citée, on les dit descendants des Goths (peut-être des Chaldéens, au vu de la Bible). Serait-ce que les Cagots étaient à l’origine chefs des Goths Indous ? Isaac ben Jacob
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