Des Ovnis à Belœil (Québec) et en France (au col de Vence ?)
Et des humains ?

Au Québec, nous avons vécu à Montréal de fin 1975 à mars 1979, et nous y sommes retournés, environ un mois, en été 1980 et 1981.  Nous nous intéressons vraiment beaucoup aux Ovnis ;  nous ne sommes pas connus ni "reconnus", ni forcément tout voués à la reconnaissance du déjà reconnu.

 

Parmi les huit ou neuf observations que j’ai eu le bonheur de faire à Belœil, depuis le jardin des Blaquière, je retiens surtout :  celle du 22 septembre 1978, à minuit, à deux témoins, aux jumelles fortes (une vingtaine d’œufs lumineux, entourés d’un filet aussi lumineux, se déplaçant à peu près d’est en ouest, durant quinze secondes), puis du 1er novembre 1978, à 10 h 15, la plus rapprochée, mais sans le temps d’utiliser les jumelles, et celles du 28 août 1980, de 20 h 55 à 21 h 05 (surtout la deuxième de ce soir là, avec les trois "disques" auto lumineux, côte à côte, dont celui du milieu allant virevolter juste sous le premier avant de reprendre sa place médiane) et quatre témoins dont Tatiana et notre fils Alexandre, et, avec jumelles, (de 16) Jean-Louis, (de 12) moi, j’ai voulu passer aussi mes jumelles à Tatiana qui a voulu que les garde.  L’observation du 23 mars 1979, à 21 h 20, était aussi très intéressante, deux boules lumineuses un peu "laiteuses" se suivant d’environ cent à deux cents mètres, un peu décalées l’une par rapport à l’autre et avec une légère gaze entre elles, ne cachant pas le ciel, et une petite lueur rouge à mi-distance des deux, elles sont passées juste sous Saturne que nous venions d’observer avec une lunette de grossissement 30 (nous pouvions voir l’anneau de Saturne, tel un petit hochet).  Juste après cette observation Jean-Louis Blaquière me dit, avec son accent québécois ajoutant au charme de sa remarque :  « sont-ils effrontés, tout de même, de passer comme ça, devant nous autres ! » (moment inoubliable).

A presque quatre ans notre fils Alexandre a dit aux Blaquière, devant nous, « nous allons observer des humanoïdes stupides », ce "mot d’enfant" est resté dans toutes nos têtes et depuis nous avons parlé des "stupides" comme de vieilles connaissances, d’ailleurs revues de temps en temps.

 

J’ai beaucoup réfléchi aussi à l’observation du soir du 1er novembre 1978 (à 10 h 15), merveilleuse, vraiment :  je puis assurer qu’il s’agissait bien en fait d’un disque noir, dans la nuit, vu de dessous, entouré d’un fil doré, comme une sorte de grande "alliance" avec en plus à un endroit de son bord une lueur rouge ;  soudain alors que le l’objet (venant en descendant du ciel depuis le sud légèrement est, depuis à droite "près des Pléiades"), est venu au plus proche pratiquement au-dessus de la maison des Blaquière (dans un silence total), la partie déjà un peu rouge est alors devenue soudain largement flamboyante, d’une magnifique lueur rouge-pourpre (avec aussi un peu de violet ou de bleu ?).  L’"Ovni" a alors viré suivant un angle d’environ 110 à 120 degrés, avec cette lumière alors au maximum d’intensité, à l’intérieur du virage, puis, une fois le virage pris, la lueur s’est estompée, à nouveau proche de l’aspect fil doré entourant toujours le disque (observation d’environ 10 secondes ?).

Une fusée crachant du feu part bien sûr, par réaction, en sens inverse de celui-ci, qu’elle éjecte, rejette ;  alors que là c’est tout le contraire, l’"Ovni" est parti vers et avec ce fort éclairage flamboyant, et il ne s’agissait pas de "feu" véritable.  A noter que Jean-Louis ressortait tout juste de chez lui (et de la lumière électrique), dans le jardin ;  tout ému je lui dit "là, là" en tendant ma main vers l’"Ovni" mais il n’a pas regardé immédiatement où il fallait et c’était la nuit, l’observation a durée quelques dix secondes et c’était déjà la fin, surtout que l’objet alors moins allumé partait du côté avenue Choquette (tout à fait tranquille en plus à cette heure là).


 

Cela va aussi dans le sens de ce que me disait René-Louis Vallée, en 1972 ;  matérialiser de l’énergie spatiale ("énergie diffuse" pour Vallée) crée une "dépression" dans cette énergie, en réalité omniprésente et très intense, ainsi pousse vers cette dépression ce qui est "matérialisé", cet effet peu être très efficace.  Pour réaliser un effet semblable René-Louis Vallée propose ainsi, dans des tores Tokamak aux plasmas très ionisés, aux noyaux d’atomes alors débarrassés de leurs électrons périphériques de faire, par des champs magnétiques puissants, croissants, de faire tomber, ou plutôt "spiraler" des électrons sur des noyaux de carbone ;  un proton peut alors devenir un neutron, le carbone 12, normal (qui a six protons et six neutrons) devenir ainsi du Bore 12 (toujours avec cinq protons mais sept neutrons au lieu de six) un isotope instable du Bore 11 (qui lui a cinq protons et six neutrons) ;  un neutron en trop du Bore 12 renvoi fortement alors son électron excédentaire, électron dit alors "ß" (bêta) et redevient un proton de carbone 12 (en 20 ms, ce qui donne du 50 hertz) avec une énergie très supérieure à celle dépensée pour le faire "chuter", et l’énergie spatiale, "sub-quantique", est devenue quantique, ainsi beaucoup plus condensée, d’où création d’une dépression (forte), et poussée ou aspiration de tout objet, de notre monde lui quantique, "matérialisé", dans ou vers cette dépression (en mettant en jeu bien sûr un nombre d’atomes ou de noyaux, macroscopique, "de notre monde").  Et produire de l’énergie électronique "ß" (bêta) intense est produire de l’énergie électrique à partir de l’énergie de l’espace, inépuisable. L’"Ovni" lui se propulse non pas en dépensant de l’énergie mais plutôt en sorte en en "produisant", c’est à dire en en faisant passer du milieu "sub-quantique" à notre monde quantique, "matérialisé"  ;  il se sustente en se faisant aspirer par l’espace vers le haut et se déplace en se faisant aspirer sur le côté.  L’"Ovni" se meut avec l’espace et non pas (en luttant) contre ;  c’est alors un "tout autre monde", non conflictuel, même à l’opposé du notre, si épuisable, si fini, si limité.

 

J’estime ainsi que j’ai vu, bien que cette seule une fois, un "Ovni fonctionner", et le processus en est plutôt simple, du moins à sa base, "dans son principe".

N’est-ce pas une grande et bonne chose d’y voir si possible au moins un peu plus clair, réellement, concrètement, de plus dans le "monde" ou "l’univers" des "Ovnis" ? ?  Les mots "monde" et "univers" ne sont pour une fois pas trop forts.

 

Pour compléter mon témoignage du 1er  novembre 1978, lui pratique, je puis faire aussi la proposition, elle théorique, "orthoténique", que l’"Ovni" pouvait venir (du sud-est) en suivant la ligne orthoténique "Cesnat" ou "Basar" (voir, en post scriptum, "Orthoténie ?") et a pris ensuite la ligne "Valene" (vers l’ouest, sud-ouest), en bifurquant, suivant un angle de 110 à 120 degrés, pratiquement au-dessus de la maison des Blaquière (la photocopie de la carte peut en donner une bonne idée) !

 

Au bas de la feuille ou le croquis correspondant à la troisième observation du 28 août 1980, avec trois témoins (la première avec deux témoins, la deuxième avec quatre, la troisième avec trois)), j’ai voulu signaler qu’un hélicoptère est venu de l’ouest et entre Belœil et St-Hilaire et le mont St-Hilaire, cette fois ce n’était ni un oiseau (des oiseaux prêtent des fois à confusions, très momentanées) ni un"Ovni".  Il a zigzagué assez longuement, fait des huit, fait du vacarme pendant au moins cinq minutes, plutôt dix ;  il pouvait venir de l’aéroport de St Hubert, en partie civil et en partie militaire, à une dizaine (?) de kms à l’ouest sud-ouest de Belœil (St Hubert où passe d’ailleurs la ligne"Valene", toujours "valable" en 1980).  L’hélicoptère (gros) était une "banane", donc militaire, et très bruyant (je n’ai jamais entendu d’"Ovni" faire du bruit, plutôt un silence total).  C’est la seule fois m’a dit Jean-Louis lui-même qu’il y a eu cette histoire d’hélicoptère, même pendant des décennies ;  il y avait déjà eu (bien que quand même peu souvent) au moins trois passages d’"Ovnis" dans le même soir, cependant jamais sans cette démonstration très tapageuse (et plutôt vaine ?).   

 

A St Jean-Baptiste de-Rouville, à dix kilomètres au sud-ouest de Belœil, il s’est passé aussi, même encore plus qu’à Belœil (!), des choses extraordinaires.

Nous sommes retournés en France en avril1979, et durant notre séjour en août-septembre 1980 un soir nous avons préféré aller chez les Blaquière de Belœil, qui nous hébergeaient, et c’est à St Jean-Baptiste que "ça c’est passé" ce soir là.  Au jour finissant dans le jardin de  Jean-Louis celui-ci m’a dit "j’ai vu descendre une belle boule verte" (vers le sud-est), j’étais assis en face de lui et n’ai pas eu le temps de voir la chose.  Or au même moment à St Jean-Baptiste Philippe, avec certains de ses fils, et aussi Marc Leduc (pourtant rarement présent) ont vu ce que du moins des ufologues, dont des ufologues québécois avertis appellent "le bolide vert", celui-ci à haute altitude a émis comme des "étincelles" :  il s’agit, et s’agissait en fait, de "soucoupes", et peu de temps après deux grosses boules rouges lumineuses se tenaient au-dessus du village.  Ils ont sauté dans une voiture pour y aller, mais arrivés sur la route les boules ont disparu.  D’après leur expérience et celles d’ufologues américains, ce "bolide vert" semble bien être un "vaisseau mère", donc très grand, son altitude devait être haute !

 

Au début des années 70 (?),  et averti par téléphone, Philippe a vu passer devant chez lui, venant de l’est, du village, un "Ovni" évoquant comme me l’a dit Philippe un "chapeau de paille de fermier américain", en forme de cloche, très bombé, jaune lumineux.  Celui-ci était ainsi très semblable à l’"Ovni" de Marius Dewilde, de nuit et lumineux, en septembre 1954, avec deux humanoïdes passant devant lui, momentanément paralysé, et en octobre, de jour, avec plusieurs humanoïdes en scaphandres, dont un est venu caresser légèrement son fils dans les bras de son père et leur a emmené une poule avant de décoller, sans bruit, après les avoir salué.  A signaler, pour les "psychopathes chevronnés", que le rapprochement, dans les années 70, avec le "chapeau de paille de fermier américain", n’est pas dû à un québécois, donc américain, puisqu’il a été vu, en France, près de la frontière belge, en  septembre 1954.

Après être passé devant chez Philippe, depuis la droite, l’"Ovni", toujours lumineux, s’est posé, ou très très près du sol, dans un champ à quelques cinq cent mètres devant un peu à gauche, Philippe a alors pris sa voiture pour aller voir de plus près, l’"Ovni" s’est alors éteint et Philippe est allé trop loin, il l’a alors vu s’éclairer fortement, dans son rétroviseur, plus rien.  Par contre quelqu’un qui s’était approché à pieds a été très ébloui et n’a plus vu, après, qu’un brouillard luminescent ;  la femme de Philippe qui était restée devant sa maison, elle un peu en hauteur, sur les premières pentes du Mont Rougemont, a elle bien vu l’"Ovni" décoller et bondir au zénith jusqu’à disparition ;  l’"Ovni" ne s’est nullement "dématérialisé".  Quelque peu fâché contre les affabulateurs et avec un fort accent québécois bien de circonstance, Philippe a bien dit, et aussi devant Alain Beau venu en visite , « "les dématérialisations d’Ovnis" c’est des histoâres, des mensonges ».  Cher Philippe, maintenant disparu, et aussi très cher Jean-Louis lui pareillement disparu après son frère, aîné !

 

Dans les années 85 et après, Jean-Louis Blaquière m’a dit, au téléphone (j’étais en France), toujours avec sa diction chantante québécoise, que pendant la belle saison (soit de juin à octobre) :

«  je ne fais plus d’observation, je n’en ai vu qu’une "couple de fois" ! »  (encore une merveille !).

 

Jean-Louis Blaquière qui, depuis juillet 1972, a vu des Ovnis seuls ou en formation des dizaines et des dizaines de fois de fois sinon des centaines, souvent avec témoins, des amis, de la famille, des amis, aussi en plus des personnes seulement de passage, est bien inconnu, ne dérange personne ;  le livre «  Le procès des soucoupes volantes », excellent, de Claude Mac Duff en témoigne pourtant très bien, entre autres pour la vague de 1972 vue à Belœil dont par les Blaquière, "vague" en fait au moins souvent répétitive durant toutes les années suivantes.

  En France nous n’avons jamais rien vu, et souvent observé, ainsi entre autres dans les Pyrénées, dans la Drôme (ma famille paternelle est de Bayonne, celle maternelle de la Drôme, dont de Valence).

Je n’ai vu que neuf fois des Ovnis (en formation ou seul), en trois ans, de 1978 à  1980, et à Belœil,  Tatiana en a vu trois fois en un soir, le 28 août 1980, dont la seconde superbe, un vrai grand cadeau, avec trois "soucoupes" auto-lumineuses et exécutant une sorte de petit ballet, notre fils Alexandre a vu les deux dernières observations de cette même soirée, Jean Louis était témoin, avec jumelles de grossissement 16, les miennes l’étaient de 12)

 

Il y a eu aussi l’affaire (énorme) de St Mathias (dans les années 60 ou 70), un peu plus au sud, encore près du fleuve Richelieu, avec cette fois plutôt deux "Objets" que deux "Ovnis", d’abord l’un le plus gros, ensuite l’autre, tous deux en forme de dôme (ou de  "tentes" rondes ?), l’un plutôt jaune foncé, l’autre plutôt gris.  Les témoins ne les ont vu ni arriver ni vraiment décoller.  Avec et près des "Objets" il y avait de nombreux humanoïdes, que les témoins, travaillant leur maison, à deux ou trois centaines de mètres, ont pris pour des "boys scouts" (entre autres à cause des "tentes rondes"),  pendant je crois environ un quart d’heure (ou plus ?) ;  ces êtres sont allés et venus, comme très affairés, entre un ruisseau et les  "tentes", puis ils ont disparu et les objets ont semblé glisser vers le fond, effectivement en pente un peu descendante, puis ont ainsi disparu, sans être revus.  Rapidement averti par téléphone, dont par des ufologues d’Ufo-Québec, Marc Leduc entre autres s’est rendu sur les lieux.  Les abords du ruisseau avaient été très affouillés, et à la place des deux dômes il y restait deux ellipses grises bordées de cendres faisant de la poussière dans le vent (y a-t-il eu analyses ?).  Un an après, vu d’avion, les deux ellipses, grises, étaient encore visibles, et juste sur une faille ceinturant en fait tout le Mont Rougemont.  Le tout, ellipses et faille, était bien visible d’avion, et sur photographies couleurs. Le Mont Rougemont est un peu plus au sud que le Mont St Hilaire, St Jean-Baptiste est juste à ses pieds côté nord-nord-est, il est d’origine volcanique, comme le Mont St Hilaire, aussi le Mont St Bruno, plus à l’ouest, et encore aussi le Mont Royal de Montréal (!) encore plus à l’ouest.  Du Mont Rougemont à Montréal il y a environ cinquante kms.  Cela fait quatre "monts" (ou collines) volcaniques, très anciens, séparés de quinze ou dix kms.

 

Je voudrais encore préciser le cas vu du jardin de Jean-Louis Blaquière à Belœil le 1er novembre 1978 à 10 h 15.  J’assure que vu au plus près il s’agissait bien en fait d’un disque noir (dans la nuit), vu de dessous, entouré d’un fil doré, comme une sorte de grande alliance avec en plus à un  endroit de son bord une lueur rouge ;  soudain alors que l’objet (venant en descendant du ciel depuis le sud légèrement est), est venu au plus proche pratiquement au-dessus de la maison des Blaquière (dans un silence total), la partie déjà un peu rouge est alors devenue soudain largement flamboyante, d’une magnifique lueur rouge-pourpre (avec aussi un peu de violet ou de bleu ?).  L’"Ovni" a alors viré suivant un angle d’environ 110 à 120 degrés, avec cette lumière alors au maximum d’intensité, à l’intérieur du virage, puis, une fois le virage pris, la lueur s’est estompée, redevenant presque plus proche de l’aspect du fil doré entourant toujours le disque.  Le diamètre de la Lune vu de la Terre correspond à peu de choses près à un diamètre de 1 mètre à vu à 100 mètres.  Vu au plus près le diamètre du disque faisait environ quatre fois celui de la Lune et l’altitude peut être estimée à quelques trois cents mètres environ, soit pour le disque un diamètre de 4 x 3 = 12 mètres ?

 


 

Une fusée crachant du feu part bien sûr, par réaction, en sens inverse de celui-ci, qu’elle éjecte, rejette ;  alors que là c’est tout le contraire, cet "Ovni" est parti vers et avec ce fort éclairage flamboyant, et il ne s’agissait pas de "feu" véritable.  Les engins à réaction luttent contre l’espace pour se propulser, sont éminemment conflictuels, dans une "civilisation" et une société, une "humanité" elles-mêmes (très) conflictuelles, alors que les "Ovnis" ou plutôt les "soucoupes volantes" (et tout à fait indépendamment d’une atmosphère planétaire gazeuse ou même liquide) se font "aspirer" par l’espace, en harmonie, capables ainsi, et sans bruits, sans fureurs et autres inconvénients et pollutions, d’atteindre des vitesses, et des évolutions, prodigieuses.

 

De tous bords notre "humanité" est très "réactionnaire".  Dans le réel infini et omniprésent au moins en bonne moyenne tout va ou finit par aller plutôt ensemble, et y va, ou en mieux ou non, du vraiment neutre n’est guère durable ; une société en fait conflictuelle l’est toujours même sous des apparences différentes, ainsi aussi trompeuses.  Puisse le ciel, s'il le peut, nous préserver des sens très uniques, révélés ou non, rejetant du réel contrariant leurs a priori, ainsi des "bien-pensants" de tous bords, des "grandes consciences" de toutes obédiences, des "très bonnes intentions", d'elles aussi l'enfer est très pavé.   Du mystère fait de l’obscurantisme, en nier peut servir à nier de l’explication, et du très "intéressé" a d’autant besoins d’obscurantismes, de non-explications ou fausses explications du réel.  Il fut dit à Pagès par un avionneur très connu "tant que je serai là vous ne ferez rien".  Ceux ainsi "très à réaction" et tous leurs complices actifs ou passifs, c’est à dire l’unanimité (sauf exceptions ?), nous font un monde en fait de mort, de "pensées de mort", à rebours d’avenir réel comme de présent vraiment vécu.  Sur quelle planète sommes nous donc ?

 

Vive les "Ovnis", comme les "Ovis" (?), cette fois humains ? L'homme peut aussi devenir de lui-même un vrai extraterrestre, avoir cet avenir d’autant moins limité, il n'a même vraiment de sens que s'il peut l'atteindre, le devenir, aussi bien en nombre à volonté, concrètement, bien vivants s'entend, au lieu d’un enfermement d’autant de mort.  Aussi des êtres libres de s'éloigner,  voire d’être extraterrestres ( ?), à volonté sont aussi d'autant peu exploitables.  Cela est intolérable ?  S’y oppose tout une imposture en place dominante, aux pensées d’autant de mort, et la très grande majorité des autres qui en fait en demandent et redemandent.  Les uns comme les autres "n’existent" que dans de l’erreur, d’autant "sacrée" ?  "Nous allons dans l’espace à cause de la mort" a dit un spationaute, suisse (au moins un a compris ?).   Il faut un Suisse pour vouloir au moins essayer de "sortir du cimetière" ?  Ce qui est beaucoup beaucoup moins limité en espace peut l’être aussi d’autant moins en temps.

 

Côté France il semble qu’il se passe des choses intéressantes près du col de Vence ?  Il se trouve que ma femme (Tatiana Boutleroff) a une cousine Anna Boutleroff propriétaire d’une maison, de famille, à St Barnabé, un coin plutôt encore (très) isolé (?), à tout juste trois kms du Col de Vence.  Anna Boutleroff habite maintenant Draguignan, St Barnabé est sa résidence secondaire.  De St Barnabé au col de Vence la route (petite) est, elle, très simple et courte.  Ma femme et mon fils ont passé à St Barnabé deux jours au 14 juillet 1979 et quelques heures dans les années quatre-vingt-dix.  Beaucoup de gens de la famille proche ou lointaine ou des amis de la cousine Anna vont souvent à St Barnabé.  Le père d’Anna Boutleroff père y avait les "ruches Boutleroff", connues dans les environs ;  cela est aussi un peu de famille, l’aïeul Alexandre Boutleroff, chimiste découvreur du premier alcool tertiaire, le triméthylecarbinol, s’est aussi beaucoup occupé d’apiculture (ce qui est de même rapporté dans le Larousse en six volumes).  Né à Tchistopol, sur la Volga, et officiant  à Kazan, ce grand chimiste est venu mourir curieusement à Biarritz (!), en 1886.

 


 

Côté "Ovnis", et malgré le col de Vence, je ne crois pas que la cousine Anna,  pourtant justement très "favorisée", soit jamais du genre à au moins s’y intéresser objectivement (mais "on peut se tromper" ?).  Du sûr de soi collectif comme individuel, du conformisme, du rationalisme, de l’arrivisme, voire même opposés mais bien complices ne serait-ce qu’en "ismes" et systématismes, ne sont pas faits pour de l’avenir réel comme un présent vraiment vécu.

 

 

Et des humains ?

 

Par orgueil, arrogance, égocentrique, très centripète, écrasante, comme par frivolité, "qui met en miettes", très centrifuge, allant toujours de pair, nous nous croyons vite libres du réel , à sens d'autant très uniques, très arbitraires, hors réel (comme souvent "il suffit au fond de croire au miracle" automatique ?), ainsi arrogants, et frivoles, matérialistes, et superficiels.  Luther fut très anti-Copernic, et mis la Terre et les humains, et lui-même, très au centre de l’univers, et aussi bien ceux, de tous bords, qui plus tard condamnèrent Galilée.  Galilée condamné, la Terre ne tourna plus ?  Aussi qu’en est-il pour les Ovnis, réellement ?

 

 

Il est question dans cet exposé entre autres des cas de Belœil et de Saint-Jean-Baptiste de Rouville, distants entre eux de sept miles, à une trentaine de kilomètres à l’est de Montréal, au Québec ;  ceci dépasse et de très loin bien des hauts lieux d’Ovnis.  (AUSSI ?)  PERSONNE NE VEUT EN PARLER, EN ENTENDRE PARLER.  Nous disons bien PERSONNE DE CONNU, de "RECONNU".  Parce que le reste risque de paraître bien fade en comparaison ?  Tout va vite aussi ensemble en mieux ou non, il n’y a guère d’états bien neutres, de plus durables, et il est plus facile de laisser aller comme de "se laisser faire", voire de se croire libres, voire de le prêcher.  Inverser but et moyens est courant, ainsi Réunions et Ovnis, eux le moyen, un prétexte ?

 

Une des grandes vagues d’Ovnis au Québec comme aux USA eut lieu en 1973.  A Belœil 1972 et 1977 furent aussi très favorables, et il y a eu des observations tous les ans.  En tout en neuf mois d’observations attentives, répartis sur 1978 (six mois), 1979 (deux mois), 1980 (un mois), j’ai fait neuf observations, soit une moyenne d’une par mois.  Un copain y est venu une fois, avec moi, à Noël 1979, nous avions utilisé un "charter" peu cher, et peu confortable ;  j’avais une histoire de malles à faire rapatrier en France, et en ces quelques jours nous n’avons rien vu, et le froid de l’hiver québécois n’est guère propice à des observations de plus nocturnes ;  en ces quelques jours, de Noël québécois, nous n’avons pas eu la chance de voir des Ovnis, ce qui aurait été vraiment très exceptionnel.

 

De même  (AUSSI ?) PERSONNE NE VEUT PARLER, ENTENDRE PARLER, nous disons bien PERSONNE DE CONNU, de "RECONNU", de ce que la science en place actuelle, même dès sa base, au plus fondamental, peut enseigner des faits faux et même absurdes :

-  ainsi la rotation est un mouvement hyper fondamental (avec la translation, qui va droit), dès qu’un tant soit peu déviée, elle a des effets gyroscopiques, fondamentaux,  ainsi entre autres pour la physique de tout ce qui tourne, d’une roue, d’une simple toupie, d’un gyroscope (lui une toupie en cage, encore plus simple qu’une toupie libre).  La science en place actuelle refuse pourtant d’expliquer, présente faux et même absurdes, des faits très réels, ainsi ceux gyroscopiques, ENTRE AUTRES, alors que même (ou parce que ?) vraiment fondamentaux.

-  il en est ainsi encore entre autres pour des faits très avérés que sont des transmutations naturelles "douces" telles celles relevées par Louis Kervran, ainsi d’immenses champs de maïs produisent plus de 50 kilogrammes (non pas de grammes) de magnésium par hectare sans aucun apport significatif de magnésium et années après années (sans explications objectives permises). 

 

Même le "copain" venu avec moi voir les Blaquière rampe littéralement devant cette "science" (ainsi pour la toupie, le gyroscope, …), alors même que, par contre, il s’intéresse beaucoup aux transmutations naturelles "douces", aux travaux de Kervran.  Que d’incohérences !  Une même discipline peut être très cohérente, en fait avec elle-même, et incohérente avec le réel, voire d’autant.  

 

La science en place actuelle ne peut pas bien sûr accepter, encore moins expliquer, objectivement, les soucoupes volantes, entre autres.  Et il ne faut "rien dire", ou si peu ?

 

 

 

Philippe et Tatiana Tournier

 

 

 

 

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P. S. :  Orthoténie ?  Seulement théorique ?

 

Dans les années 70-80 Jean Vézina a déterminé, manuellement et aussi beaucoup avec ordinateur, sept lignes orthoténiques d’Ovnis pour tout le Québec et toutes frôlant ou traversant le Mont-St-Hilaire, juste à l’est de Belœil, appelé aussi Mont-Belœil par des gens de Belœil (ou "Beaux-Yeux" ?). Belœil et St-Hilaire sont juste séparés par le fleuve Richelieu venant du lac Champlain et se jetant dans le St Laurent un peu plus au nord.  Il faudrait aussi préciser que ces lignes, sur la carte, vont aussi en fait plutôt en descendant, surtout vers St Jean-Baptiste, faisant en réalité de "l’orthoténie en trois dimensions" !

Il y a à votre disposition, par courrier :  une photo-copie d’une carte de la région de Belœil-Saint-Hilaire avec les sept lignes orthoténiques déterminées par Jean Vézina (avec les encouragements de Marc Leduc), pour le Québec, dans les années quatre-vingt du siècle précédent, plus celle d’une présentation de trois de ces mêmes lignes orthoténiques concernant St Jean-Baptiste -de-Rouville, à dix kms au sud-est de Belœil.  Il y a eut ainsi deux rapports, reliés avec couverture cartonné et anneaux :   "Application de l’orthoténie aux observations du Québec", de 179 pages, daté du 30 08 1983, et " Vérification de la persistance du réseau orthothénique pour la période 1978-1984", de 76 pages, daté de l’automne 1986.  Ces travaux de Jean Vézina sont considérables et merveilleux, et la part d’un bien jeune homme (dans les vingt-deux à vingt-quatre ans) quand je fis sa connaissance en 1980, chez les Blaquière à Belœil.  Aimé Michel qui en a reçu un exemplaire, m’a dit :  « vous pourrez dire à vos amis québécois que tout ce qu’il fallait faire, ils l’ont fait » ;  il les a bien sûr félicités et remerciés.  Dans les années 60, 70, 80, toujours du siècle précédent, j’ai rencontré  plusieurs fois Aimé Michel à St Vincent les Forts, au bien beau cadre, et une fois brièvement à Paris vers 1972-1973.  Il peut être aussi ajouté que le 19 septembre 1961 au soir, Barney et Betty Hill sont passés à 11 kms (ou 6.9 miles) de St Jean-Baptiste de-Rouville et 20 kms (ou 12.5 miles) de Belœil, avant d’atteindre le New Hampshire où s’est produit leur (grand) évènement.