les Archives du Serpent Rouge. Trimestriel, 40 à 44 pages couleurs,
Au SOMMAIRE du N°1:
Nous irons visiter Gisors et sa crypte Sainte-Catherine si controversée. Puis nous examinerons à nouveau les librairies de la Chartreuse et du Château de Gaillon. Enfin, nous terminerons ce premier tour de chauffe aux pays de Madrie et du Razès, deux territoires de l'ancienne France dont les liens les plus étroits vous seront révélés, documents et autres preuves concrètes à l'appui.
Qu'est-ce que le Mercure de Gaillon ?
Le Mercure de Gaillon était à l'origine ce qu'on appelle aujourd'hui un bulletin d'information. Editée pour la première fois vers 1640 par Mgr Harlay de Champvallon, archevêque de Rouen, cette publication fut imprimée par Henri Estienne III dans l'atelier que le prélat avait installé dans son château de Gaillon. Cette entreprise ne devait hélas pas lui survivre très longtemps.
Après avoir ravivé la flamme en 2001 sur Internet, nous proposons maintenant au lecteur de découvrir une nouvelle version du Mercure de Gaillon, relookée, dépoussiérée, avec des propos quelque peu différents de ceux traités par les religieux de Gaillon.
En sous-titrant ce magazine les Archives du Serpent Rouge, nous avons l'intention d'emmener le lecteur aux confins du mystère et des énigmes du Monde et pas seulement à Gaillon.
Sans verser obligatoirement dans l'ésotérisme, nous aborderons des sujets diversifiés dans les domaines de l'histoire, l'archéologie, l'alchimie, la thésaurologie, l'héraldique, la généalogie, les sociétés secrètes et tous les thèmes connexes. Au besoin, nous ne manquerons pas de publier des pièces justificatives et authentiques. L'œuvre de Maurice Leblanc en général, et surtout Arsène Lupin, ne sera pas oubliée puisque c'est l'un de nos chevaux de bataille. Nous ferons aussi une juste place à l'ufologie qui d'un point de vue archéologique et historique ne manque pas d'intérêt.
(---)(FRAIS DE PORT INCLUS)
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